Jeudi 16 février.
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Jeudi 16 février.
'Jour les petitouts,
V'là t'y pas qu'des orchidées poussent sur le forum. Le mot Orchidée vient du grec "orchis", qui signifie testicule...
Ce forum va t'il dev'nir un forum porno ?
A plus...
V'là t'y pas qu'des orchidées poussent sur le forum. Le mot Orchidée vient du grec "orchis", qui signifie testicule...
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Monsieur Wu- Admin
- Messages : 1650
Date d'inscription : 16/03/2009
Re: Jeudi 16 février.
Bonjour GG, salut à tous
Tu tends la perche au sujet que j'ai pêché ce matin , ça ne pouvait pas mieux tomber et ceux d'aujourd'hui n'ont rien inventé !!
Bon, depuis hier soir on a un nouveau candidat, ça c'est une nouvelle !! la France ne s'en remet pas ce matin.....
Le redoux est là, tu vas pouvoir sortir Oui, Eve nous manque et on aimerait bien avoir un petit mot que Bernard pourrait glisser dans la boîte de GG ....
Bonne journée et bonne fête aux Marcel
C'est arrivé aujourd'hui
Lewino et Dos Santos
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
Félix Faure ne résiste pas à la petite gâterie offerte par sa maîtresse dans le salon bleu du palais de l'Élysée.
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
C'est également arrivé un 16 février
Félix Faure, président de la République depuis quatre ans, fait honneur à la patrie. Comme tout bon Français de sexe mâle, il a pris une maîtresse. Elle s'appelle Marguerite Steinheil, elle a 26 ans et, en bonne Parisienne, change d'amant comme de chapeau. Son mari, le peintre Steinheil, qui poursuit ses propres amours, ne trouve rien à y redire. Au contraire même, la nouvelle relation de son épouse lui vaut plusieurs commandes officielles. La fonction du bon Félix Faure étant stressante, il a pris l'habitude de faire venir Mme S. au palais de l'Élysée à chaque fois qu'il a besoin d'une séance de relaxation. Le matin du 16 février 1899, il lui fait savoir qu'il la recevra avec plaisir à 17 heures, après ses dernières obligations. Quelques minutes avant qu'elle ne soit introduite, dans le salon bleu, bien sûr, il avale un excitant pour raffermir sa chair pendouillante. À 56 ans... Elle arrive, enfin. Belle, vive. Il n'y a pas de temps à perdre. Elle ouvre son corsage pour lui offrir une magnifique poitrine qui ne doit rien à une prothèse mammaire PIP.
Connaissant la chanson, elle entame les préliminaires ; soudain, elle sent la main de son amant se crisper sur sa tête. Elle s'apprête à interrompre sa prestation quand il se met à crier : "J'étouffe ! J'étouffe ! Je n'y vois plus." Elle se relève, s'affole, sonne les domestiques et s'enfuit par un escalier dérobé sans même prendre le temps de se rhabiller entièrement. Parvenue dans la rue de Marigny, elle hèle un fiacre, le torse encore nu sous sa jaquette. Pendant ce temps, les domestiques de l'Élysée découvrent le président allongé sur le divan, en pleine crise. Le médecin qui accourt est impuissant à le sauver. Vers 10 heures, il meurt d'une congestion cérébrale, comme on dit à l'époque. Lorsque le prêtre mandé pour lui administrer les derniers sacrements se présente, quelques heures plus tard, il demande à un garde du palais : "Le président a-t-il encore sa connaissance ?", s'attirant la réponse mythique : "Non, elle vient de s'enfuir par l'escalier de service."
La nouvelle de la mort de Félix Faure se répand rapidement. Le Journal du peuple écrit qu'il est mort d'avoir trop "sacrifié à Vénus". Tout Paris comprend l'allusion. Les journalistes, apprenant que le président est mort durant une fellation prodiguée par sa maîtresse Mme S., surnomment celle-ci "la Pompe funèbre". Le sobriquet fait fureur. Cette réputation attire même à la belle de nouveaux amants, parmi lesquels Aristide Briand et le roi du Cambodge.
La fin de Marguerite est moins glorieuse que son entrée dans le monde. Le 30 mai 1908, elle est retrouvée ligotée et bâillonnée dans son lit. Son époux a été étranglé et sa mère est morte d'une crise cardiaque. Soupçonnée d'être l'instigatrice du crime de son mari, elle est cependant acquittée. Elle épousera ultérieurement un baron anglais et s'éteindra à 85 ans, on ne l'invente pas... dans le Sussex.
Tu tends la perche au sujet que j'ai pêché ce matin , ça ne pouvait pas mieux tomber et ceux d'aujourd'hui n'ont rien inventé !!
Bon, depuis hier soir on a un nouveau candidat, ça c'est une nouvelle !! la France ne s'en remet pas ce matin.....
Le redoux est là, tu vas pouvoir sortir Oui, Eve nous manque et on aimerait bien avoir un petit mot que Bernard pourrait glisser dans la boîte de GG ....
Bonne journée et bonne fête aux Marcel
C'est arrivé aujourd'hui
Lewino et Dos Santos
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
Félix Faure ne résiste pas à la petite gâterie offerte par sa maîtresse dans le salon bleu du palais de l'Élysée.
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
C'est également arrivé un 16 février
Félix Faure, président de la République depuis quatre ans, fait honneur à la patrie. Comme tout bon Français de sexe mâle, il a pris une maîtresse. Elle s'appelle Marguerite Steinheil, elle a 26 ans et, en bonne Parisienne, change d'amant comme de chapeau. Son mari, le peintre Steinheil, qui poursuit ses propres amours, ne trouve rien à y redire. Au contraire même, la nouvelle relation de son épouse lui vaut plusieurs commandes officielles. La fonction du bon Félix Faure étant stressante, il a pris l'habitude de faire venir Mme S. au palais de l'Élysée à chaque fois qu'il a besoin d'une séance de relaxation. Le matin du 16 février 1899, il lui fait savoir qu'il la recevra avec plaisir à 17 heures, après ses dernières obligations. Quelques minutes avant qu'elle ne soit introduite, dans le salon bleu, bien sûr, il avale un excitant pour raffermir sa chair pendouillante. À 56 ans... Elle arrive, enfin. Belle, vive. Il n'y a pas de temps à perdre. Elle ouvre son corsage pour lui offrir une magnifique poitrine qui ne doit rien à une prothèse mammaire PIP.
Connaissant la chanson, elle entame les préliminaires ; soudain, elle sent la main de son amant se crisper sur sa tête. Elle s'apprête à interrompre sa prestation quand il se met à crier : "J'étouffe ! J'étouffe ! Je n'y vois plus." Elle se relève, s'affole, sonne les domestiques et s'enfuit par un escalier dérobé sans même prendre le temps de se rhabiller entièrement. Parvenue dans la rue de Marigny, elle hèle un fiacre, le torse encore nu sous sa jaquette. Pendant ce temps, les domestiques de l'Élysée découvrent le président allongé sur le divan, en pleine crise. Le médecin qui accourt est impuissant à le sauver. Vers 10 heures, il meurt d'une congestion cérébrale, comme on dit à l'époque. Lorsque le prêtre mandé pour lui administrer les derniers sacrements se présente, quelques heures plus tard, il demande à un garde du palais : "Le président a-t-il encore sa connaissance ?", s'attirant la réponse mythique : "Non, elle vient de s'enfuir par l'escalier de service."
La nouvelle de la mort de Félix Faure se répand rapidement. Le Journal du peuple écrit qu'il est mort d'avoir trop "sacrifié à Vénus". Tout Paris comprend l'allusion. Les journalistes, apprenant que le président est mort durant une fellation prodiguée par sa maîtresse Mme S., surnomment celle-ci "la Pompe funèbre". Le sobriquet fait fureur. Cette réputation attire même à la belle de nouveaux amants, parmi lesquels Aristide Briand et le roi du Cambodge.
La fin de Marguerite est moins glorieuse que son entrée dans le monde. Le 30 mai 1908, elle est retrouvée ligotée et bâillonnée dans son lit. Son époux a été étranglé et sa mère est morte d'une crise cardiaque. Soupçonnée d'être l'instigatrice du crime de son mari, elle est cependant acquittée. Elle épousera ultérieurement un baron anglais et s'éteindra à 85 ans, on ne l'invente pas... dans le Sussex.
ameoceane- Messages : 1349
Date d'inscription : 17/09/2010
Age : 71
Re: Jeudi 16 février.
bonjour tout le monde ,
un petit coucou ,
le redoux est arrivé et c'est tant mieux , je vais pouvoir pédaler un peu , c'est que les courses reprennent et je suis fort en retard dans ma préparation, ce n'est pas bien grave la saison commence et jusqu'au mois de septembre je vais avoir le temps de gagner mon bouquet , du moins je l'espère , c'est que je me fais vieux maintenant.
j'espère qu'éve aura pu profiter pleinement de ses parents .
notre président rentre en campagne , hervé morin abandonne.... les coups bas vont se succéder ...........vivement que cela se termine..
bonne journée a vous tous (tes)
un petit coucou ,
le redoux est arrivé et c'est tant mieux , je vais pouvoir pédaler un peu , c'est que les courses reprennent et je suis fort en retard dans ma préparation, ce n'est pas bien grave la saison commence et jusqu'au mois de septembre je vais avoir le temps de gagner mon bouquet , du moins je l'espère , c'est que je me fais vieux maintenant.
j'espère qu'éve aura pu profiter pleinement de ses parents .
notre président rentre en campagne , hervé morin abandonne.... les coups bas vont se succéder ...........vivement que cela se termine..
bonne journée a vous tous (tes)
christ- Admin
- Messages : 1162
Date d'inscription : 25/05/2011
Age : 50
Re: Jeudi 16 février.
ameoceane a écrit:Bonjour GG, salut à tous
Tu tends la perche au sujet que j'ai pêché ce matin , ça ne pouvait pas mieux tomber et ceux d'aujourd'hui n'ont rien inventé !!
Bon, depuis hier soir on a un nouveau candidat, ça c'est une nouvelle !! la France ne s'en remet pas ce matin.....
Le redoux est là, tu vas pouvoir sortir Oui, Eve nous manque et on aimerait bien avoir un petit mot que Bernard pourrait glisser dans la boîte de GG ....
Bonne journée et bonne fête aux Marcel
C'est arrivé aujourd'hui
Lewino et Dos Santos
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
Félix Faure ne résiste pas à la petite gâterie offerte par sa maîtresse dans le salon bleu du palais de l'Élysée.
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
C'est également arrivé un 16 février
Félix Faure, président de la République depuis quatre ans, fait honneur à la patrie. Comme tout bon Français de sexe mâle, il a pris une maîtresse. Elle s'appelle Marguerite Steinheil, elle a 26 ans et, en bonne Parisienne, change d'amant comme de chapeau. Son mari, le peintre Steinheil, qui poursuit ses propres amours, ne trouve rien à y redire. Au contraire même, la nouvelle relation de son épouse lui vaut plusieurs commandes officielles. La fonction du bon Félix Faure étant stressante, il a pris l'habitude de faire venir Mme S. au palais de l'Élysée à chaque fois qu'il a besoin d'une séance de relaxation. Le matin du 16 février 1899, il lui fait savoir qu'il la recevra avec plaisir à 17 heures, après ses dernières obligations. Quelques minutes avant qu'elle ne soit introduite, dans le salon bleu, bien sûr, il avale un excitant pour raffermir sa chair pendouillante. À 56 ans... Elle arrive, enfin. Belle, vive. Il n'y a pas de temps à perdre. Elle ouvre son corsage pour lui offrir une magnifique poitrine qui ne doit rien à une prothèse mammaire PIP.
Connaissant la chanson, elle entame les préliminaires ; soudain, elle sent la main de son amant se crisper sur sa tête. Elle s'apprête à interrompre sa prestation quand il se met à crier : "J'étouffe ! J'étouffe ! Je n'y vois plus." Elle se relève, s'affole, sonne les domestiques et s'enfuit par un escalier dérobé sans même prendre le temps de se rhabiller entièrement. Parvenue dans la rue de Marigny, elle hèle un fiacre, le torse encore nu sous sa jaquette. Pendant ce temps, les domestiques de l'Élysée découvrent le président allongé sur le divan, en pleine crise. Le médecin qui accourt est impuissant à le sauver. Vers 10 heures, il meurt d'une congestion cérébrale, comme on dit à l'époque. Lorsque le prêtre mandé pour lui administrer les derniers sacrements se présente, quelques heures plus tard, il demande à un garde du palais : "Le président a-t-il encore sa connaissance ?", s'attirant la réponse mythique : "Non, elle vient de s'enfuir par l'escalier de service."
La nouvelle de la mort de Félix Faure se répand rapidement. Le Journal du peuple écrit qu'il est mort d'avoir trop "sacrifié à Vénus". Tout Paris comprend l'allusion. Les journalistes, apprenant que le président est mort durant une fellation prodiguée par sa maîtresse Mme S., surnomment celle-ci "la Pompe funèbre". Le sobriquet fait fureur. Cette réputation attire même à la belle de nouveaux amants, parmi lesquels Aristide Briand et le roi du Cambodge.
La fin de Marguerite est moins glorieuse que son entrée dans le monde. Le 30 mai 1908, elle est retrouvée ligotée et bâillonnée dans son lit. Son époux a été étranglé et sa mère est morte d'une crise cardiaque. Soupçonnée d'être l'instigatrice du crime de son mari, elle est cependant acquittée. Elle épousera ultérieurement un baron anglais et s'éteindra à 85 ans, on ne l'invente pas... dans le Sussex.
Fumer peut tuer ! ... même la pipe...
Monsieur Wu- Admin
- Messages : 1650
Date d'inscription : 16/03/2009
Re: Jeudi 16 février.
Monsieur Wu a écrit:ameoceane a écrit:Bonjour GG, salut à tous
Tu tends la perche au sujet que j'ai pêché ce matin , ça ne pouvait pas mieux tomber et ceux d'aujourd'hui n'ont rien inventé !!
Bon, depuis hier soir on a un nouveau candidat, ça c'est une nouvelle !! la France ne s'en remet pas ce matin.....
Le redoux est là, tu vas pouvoir sortir Oui, Eve nous manque et on aimerait bien avoir un petit mot que Bernard pourrait glisser dans la boîte de GG ....
Bonne journée et bonne fête aux Marcel
C'est arrivé aujourd'hui
Lewino et Dos Santos
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
Félix Faure ne résiste pas à la petite gâterie offerte par sa maîtresse dans le salon bleu du palais de l'Élysée.
1899 : une fellation présidentielle à l'Élysée
C'est également arrivé un 16 février
Félix Faure, président de la République depuis quatre ans, fait honneur à la patrie. Comme tout bon Français de sexe mâle, il a pris une maîtresse. Elle s'appelle Marguerite Steinheil, elle a 26 ans et, en bonne Parisienne, change d'amant comme de chapeau. Son mari, le peintre Steinheil, qui poursuit ses propres amours, ne trouve rien à y redire. Au contraire même, la nouvelle relation de son épouse lui vaut plusieurs commandes officielles. La fonction du bon Félix Faure étant stressante, il a pris l'habitude de faire venir Mme S. au palais de l'Élysée à chaque fois qu'il a besoin d'une séance de relaxation. Le matin du 16 février 1899, il lui fait savoir qu'il la recevra avec plaisir à 17 heures, après ses dernières obligations. Quelques minutes avant qu'elle ne soit introduite, dans le salon bleu, bien sûr, il avale un excitant pour raffermir sa chair pendouillante. À 56 ans... Elle arrive, enfin. Belle, vive. Il n'y a pas de temps à perdre. Elle ouvre son corsage pour lui offrir une magnifique poitrine qui ne doit rien à une prothèse mammaire PIP.
Connaissant la chanson, elle entame les préliminaires ; soudain, elle sent la main de son amant se crisper sur sa tête. Elle s'apprête à interrompre sa prestation quand il se met à crier : "J'étouffe ! J'étouffe ! Je n'y vois plus." Elle se relève, s'affole, sonne les domestiques et s'enfuit par un escalier dérobé sans même prendre le temps de se rhabiller entièrement. Parvenue dans la rue de Marigny, elle hèle un fiacre, le torse encore nu sous sa jaquette. Pendant ce temps, les domestiques de l'Élysée découvrent le président allongé sur le divan, en pleine crise. Le médecin qui accourt est impuissant à le sauver. Vers 10 heures, il meurt d'une congestion cérébrale, comme on dit à l'époque. Lorsque le prêtre mandé pour lui administrer les derniers sacrements se présente, quelques heures plus tard, il demande à un garde du palais : "Le président a-t-il encore sa connaissance ?", s'attirant la réponse mythique : "Non, elle vient de s'enfuir par l'escalier de service."
La nouvelle de la mort de Félix Faure se répand rapidement. Le Journal du peuple écrit qu'il est mort d'avoir trop "sacrifié à Vénus". Tout Paris comprend l'allusion. Les journalistes, apprenant que le président est mort durant une fellation prodiguée par sa maîtresse Mme S., surnomment celle-ci "la Pompe funèbre". Le sobriquet fait fureur. Cette réputation attire même à la belle de nouveaux amants, parmi lesquels Aristide Briand et le roi du Cambodge.
La fin de Marguerite est moins glorieuse que son entrée dans le monde. Le 30 mai 1908, elle est retrouvée ligotée et bâillonnée dans son lit. Son époux a été étranglé et sa mère est morte d'une crise cardiaque. Soupçonnée d'être l'instigatrice du crime de son mari, elle est cependant acquittée. Elle épousera ultérieurement un baron anglais et s'éteindra à 85 ans, on ne l'invente pas... dans le Sussex.
Fumer peut tuer ! ... même la pipe...
Pensée émue pour les veuves Poignet
Contente de revoir Christophe qui a l'air plus en forme
Bonne soirée les loulous
ameoceane- Messages : 1349
Date d'inscription : 17/09/2010
Age : 71
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