<>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
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<>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
à l'encre de tes mots
A’l’encre de tes mots j’ai choisi mon chemin
Il court dans les étoiles les gouttes de rosée
Jamais ne s’arrête il est mien il est tien
A l’ombre de ses joies je peux m’y reposer
A l’abri de mes bras tu peux t’y consoler
Tapissé de tendresse et bordé d’amitié
Il passe dans ma vie et parcourt la tienne
Au passage de l’eau il a pris nos deux mains
Emporté par sa douceur j’y cueillerais demain
Pour l’offrir à ton cœur que je sais être mien
Dans ce petit chemin qui sent bon notre amour
J’ai semé le bonheur pour que dure toujours
Quand au bout de mes yeux tous s’arrêtera
Je serais encore là pour te prendre dans mes bras
Traverser la rosée et finir dans les étoiles
Alors la nuit doucement nous couvrira d’un voile
Mau
A’l’encre de tes mots j’ai choisi mon chemin
Il court dans les étoiles les gouttes de rosée
Jamais ne s’arrête il est mien il est tien
A l’ombre de ses joies je peux m’y reposer
A l’abri de mes bras tu peux t’y consoler
Tapissé de tendresse et bordé d’amitié
Il passe dans ma vie et parcourt la tienne
Au passage de l’eau il a pris nos deux mains
Emporté par sa douceur j’y cueillerais demain
Pour l’offrir à ton cœur que je sais être mien
Dans ce petit chemin qui sent bon notre amour
J’ai semé le bonheur pour que dure toujours
Quand au bout de mes yeux tous s’arrêtera
Je serais encore là pour te prendre dans mes bras
Traverser la rosée et finir dans les étoiles
Alors la nuit doucement nous couvrira d’un voile
Mau
Invité- Invité
Re: <>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
lettre à l'amour
Une lettre blanche s’est envolée griffonnée d’encre à présent séchée
Elle voyage par delà le temps, les collines, les prairies vertes d’été
Qui la rattrapera, qui la lira, qui osera simplement ouvrir son cœur
Pour se laisser transporter par toutes ces lignes de paix et de bonheur.
Nul ne sait qui l’a écrite, à quel moment,
D’où vient elle, de quel pays, quel continent
Est elle gorgée des larmes des enfants malheureux
Ou légère et passionnée sous des doigts amoureux.
Une lettre blanche va bientôt se poser comme un goéland
Sur la douceur des vagues lumineuses de l’océan
Quel marin aura le temps de venir la pêcher
Avant qu’elle ne se noie dans les profondeurs de l’éternité.
Nul ne sait en quels caractères elle est écrite
Arabe, grec, latin peut être même cyrillique
Une main féminine, maternelle l’aurait elle refermée
Ou un chef d’état confessant ses erreurs passées.
Une lettre blanche, perdue au milieu d’une tendre clairière
Va peu à peu se recouvrir d’une automnale poussière
Un chasseur égaré va-t-il enfin la découvrir
Avant que l’usure des années ne la déchire.
Qui a bien pu la refermer, un soldat désespéré par ses faits d’armes
Qui ont hélas, au fil des siècles, causés bien des drames
Une belle femme sensuelle aux lèvres charnues
Ou un vieil homme, plein de sagesse, le visage barbu.
Une lettre blanche va finir sa course sous les flammes d’un incendie
Causées par toute la violence qui s’infiltre et peu à peu détruit
L’essence même et la beauté de toutes ses vies réunies
Tellement complémentaires dans la différence qui les unit.
Une main secourable, une main innocente saura t’elle rattraper
Cette unique lettre et la décacheter, la lire au monde entier
Pour que tout l’amour contenu dans toutes langues de la terre
Combattent la haine, la jalousie et la misère.
C’est un enfant qui l’a écrit de ses larmes
Une jeune mariée dans ses soupirs de femmes
Une mère qui berce son bébé dans ses bras
Un père qui revient du travail comme chaque fois
Un adolescent qui crie sa jeunesse et ses espoirs
Une fillette tremblottante qui a peur dans le noir
Un grand père qui, dans son dernier regard apaisé
Attend la délivrance de renaître pour tout réinventer.
Attrapons ensemble cette lettre et diffusons la
Comme les petits papiers de noël d’autrefois
En une pluie de neige et de confettis dans le ciel hivernal
Ce fameux soir de décembre où la paix devient mondiale.
Isabelle
Une lettre blanche s’est envolée griffonnée d’encre à présent séchée
Elle voyage par delà le temps, les collines, les prairies vertes d’été
Qui la rattrapera, qui la lira, qui osera simplement ouvrir son cœur
Pour se laisser transporter par toutes ces lignes de paix et de bonheur.
Nul ne sait qui l’a écrite, à quel moment,
D’où vient elle, de quel pays, quel continent
Est elle gorgée des larmes des enfants malheureux
Ou légère et passionnée sous des doigts amoureux.
Une lettre blanche va bientôt se poser comme un goéland
Sur la douceur des vagues lumineuses de l’océan
Quel marin aura le temps de venir la pêcher
Avant qu’elle ne se noie dans les profondeurs de l’éternité.
Nul ne sait en quels caractères elle est écrite
Arabe, grec, latin peut être même cyrillique
Une main féminine, maternelle l’aurait elle refermée
Ou un chef d’état confessant ses erreurs passées.
Une lettre blanche, perdue au milieu d’une tendre clairière
Va peu à peu se recouvrir d’une automnale poussière
Un chasseur égaré va-t-il enfin la découvrir
Avant que l’usure des années ne la déchire.
Qui a bien pu la refermer, un soldat désespéré par ses faits d’armes
Qui ont hélas, au fil des siècles, causés bien des drames
Une belle femme sensuelle aux lèvres charnues
Ou un vieil homme, plein de sagesse, le visage barbu.
Une lettre blanche va finir sa course sous les flammes d’un incendie
Causées par toute la violence qui s’infiltre et peu à peu détruit
L’essence même et la beauté de toutes ses vies réunies
Tellement complémentaires dans la différence qui les unit.
Une main secourable, une main innocente saura t’elle rattraper
Cette unique lettre et la décacheter, la lire au monde entier
Pour que tout l’amour contenu dans toutes langues de la terre
Combattent la haine, la jalousie et la misère.
C’est un enfant qui l’a écrit de ses larmes
Une jeune mariée dans ses soupirs de femmes
Une mère qui berce son bébé dans ses bras
Un père qui revient du travail comme chaque fois
Un adolescent qui crie sa jeunesse et ses espoirs
Une fillette tremblottante qui a peur dans le noir
Un grand père qui, dans son dernier regard apaisé
Attend la délivrance de renaître pour tout réinventer.
Attrapons ensemble cette lettre et diffusons la
Comme les petits papiers de noël d’autrefois
En une pluie de neige et de confettis dans le ciel hivernal
Ce fameux soir de décembre où la paix devient mondiale.
Isabelle
Invité- Invité
Re: <>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
J’ai attrapé la lettre à l’amour d’Isabelle
J’ai pris au vent cette lettre pour la lire au monde
Et puisé dans ton cœur tous tes mots à la ronde
Ceux qui donnent l’amour, ceux qui donnent l’espoir
Juste un peu de bonheur, même si ça ne dure qu’un soir
Tu vois Isabelle j’ai ouvert ta lettre, et dedans j’ai trouvé
Un message d’espérance, et tout simplement le verbe s’aimer
Si la beauté des choses se cache dans un poème comme le tien
Alors c’est un bijou serti de diamant qui se trouve dans cet écrin
Mau
J’ai pris au vent cette lettre pour la lire au monde
Et puisé dans ton cœur tous tes mots à la ronde
Ceux qui donnent l’amour, ceux qui donnent l’espoir
Juste un peu de bonheur, même si ça ne dure qu’un soir
Tu vois Isabelle j’ai ouvert ta lettre, et dedans j’ai trouvé
Un message d’espérance, et tout simplement le verbe s’aimer
Si la beauté des choses se cache dans un poème comme le tien
Alors c’est un bijou serti de diamant qui se trouve dans cet écrin
Mau
Invité- Invité
Bonjour le chouchou ,très beau ce message !
vagabon a écrit:J’ai attrapé la lettre à l’amour d’Isabelle
J’ai pris au vent cette lettre pour la lire au monde
Et puisé dans ton cœur tous tes mots à la ronde
Ceux qui donnent l’amour, ceux qui donnent l’espoir
Juste un peu de bonheur, même si ça ne dure qu’un soir
Tu vois Isabelle j’ai ouvert ta lettre, et dedans j’ai trouvé
Un message d’espérance, et tout simplement le verbe s’aimer
Si la beauté des choses se cache dans un poème comme le tien
Alors c’est un bijou serti de diamant qui se trouve dans cet écrin
Mau
Invité- Invité
Re: <>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
Bonjour Jolie chouchoute
Bisous à toi !!!
Jolie Môme
Jolie môme perchée sur tes vingt ans
Ne vois tu pas que tu es une enfant
Vivre le monde, déguster ta jeunesse
T’amuser de la vie, oublier les promesses
Courir après le temps t’évader un instant
Comme tu es jolie tes cheveux dans le vent
Jolie gamine toi qui n’a plus vingt ans
Profite encore de tous ces beaux moments
Jolie madame tu regardes passer les ans
Mais tu n’as pas quitté ton âme d’enfant
Belle est la vie Tout est joli mais toi aussi
Mau
Bisous à toi !!!
Jolie Môme
Jolie môme perchée sur tes vingt ans
Ne vois tu pas que tu es une enfant
Vivre le monde, déguster ta jeunesse
T’amuser de la vie, oublier les promesses
Courir après le temps t’évader un instant
Comme tu es jolie tes cheveux dans le vent
Jolie gamine toi qui n’a plus vingt ans
Profite encore de tous ces beaux moments
Jolie madame tu regardes passer les ans
Mais tu n’as pas quitté ton âme d’enfant
Belle est la vie Tout est joli mais toi aussi
Mau
Invité- Invité
Re: <>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
JE VAUX
Rides folles, il est vieux, il porte bien son âge
Comprenons-le un peu, il a vu tant de pages
Que son livre de vie suffirait à nos yeux
Pour savoir que cet homme à lui seul en vaut deux »
« Il est jeune, si jeune, il a tout à apprendre
Tout juste parmi nous mais ne veut pas attendre
Il ne peut pas cerner ce qui construit la vie
Laissons-lui les années pour qu’il apprenne. » Ainsi
Juge-t-on par les âges sans plus rien promettre
N’est ce pas préjuger que de juger un être
Non pas sur ce qu’il est mais sur ce qu’il a vu
Le temps ne gage pas de croitre les vertus
Je suis jeune et pourtant ai compris tant de choses
Sur des questions que certains jamais ne se posent
Que le temps ne peut pas signifier la valeur
Ou bien je suis un homme et l’étais avant l’heure
La valeur n’attend pas le nombre des années
Je vaux parmi les hommes autant que les ainés
Je vaux ce qui me porte, je vaux ce que je crois
Ce que la vie m’apporte, moi je le perçois
Les jours passées s’emballent et ne résument pas,
Ce que je suis vraiment ou que je ne suis pas.
C’est l’instinct de chacun qui peut tout lui permettre
Mais vos regards aveugles semblent bien l’omettre
Un an de mon instinct peut m’apprendre dix fois
Ce qu’en dix ans certains ne verront même pas.
Je ne suis pas presser de vieillir car je sens
Que les beautés de l’âge ont traversées le temps
Pour s’échouer en moi et trouver un refuge
Ce sont ces beautés là que je voudrais qu’on juge
Car des gens de tous âges les tiennent en mains
Jeunes ou vieux, hommes ou femme tout ceci n’est rien
Il est certaines fleurs qui s’ouvrent si tôt
Que l’on en voit le cœur à peine mises à l’eau
Les hommes sont des fleurs et moi je suis de celles
Dont l’instinct n’attend pas pour les rendre plus belles
Jugez-moi par ceci, étonnez-vous peut-être
Mais ne refusez pas ce qu’il vous faut admettre
Le temps n’est pas valeur, la valeur a bien mieux
Et je crois faire mentir ces présages bien vieux.
Silva
Rides folles, il est vieux, il porte bien son âge
Comprenons-le un peu, il a vu tant de pages
Que son livre de vie suffirait à nos yeux
Pour savoir que cet homme à lui seul en vaut deux »
« Il est jeune, si jeune, il a tout à apprendre
Tout juste parmi nous mais ne veut pas attendre
Il ne peut pas cerner ce qui construit la vie
Laissons-lui les années pour qu’il apprenne. » Ainsi
Juge-t-on par les âges sans plus rien promettre
N’est ce pas préjuger que de juger un être
Non pas sur ce qu’il est mais sur ce qu’il a vu
Le temps ne gage pas de croitre les vertus
Je suis jeune et pourtant ai compris tant de choses
Sur des questions que certains jamais ne se posent
Que le temps ne peut pas signifier la valeur
Ou bien je suis un homme et l’étais avant l’heure
La valeur n’attend pas le nombre des années
Je vaux parmi les hommes autant que les ainés
Je vaux ce qui me porte, je vaux ce que je crois
Ce que la vie m’apporte, moi je le perçois
Les jours passées s’emballent et ne résument pas,
Ce que je suis vraiment ou que je ne suis pas.
C’est l’instinct de chacun qui peut tout lui permettre
Mais vos regards aveugles semblent bien l’omettre
Un an de mon instinct peut m’apprendre dix fois
Ce qu’en dix ans certains ne verront même pas.
Je ne suis pas presser de vieillir car je sens
Que les beautés de l’âge ont traversées le temps
Pour s’échouer en moi et trouver un refuge
Ce sont ces beautés là que je voudrais qu’on juge
Car des gens de tous âges les tiennent en mains
Jeunes ou vieux, hommes ou femme tout ceci n’est rien
Il est certaines fleurs qui s’ouvrent si tôt
Que l’on en voit le cœur à peine mises à l’eau
Les hommes sont des fleurs et moi je suis de celles
Dont l’instinct n’attend pas pour les rendre plus belles
Jugez-moi par ceci, étonnez-vous peut-être
Mais ne refusez pas ce qu’il vous faut admettre
Le temps n’est pas valeur, la valeur a bien mieux
Et je crois faire mentir ces présages bien vieux.
Silva
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Re: <>*** AUX AMOUREUX DE LA POESIE ***<>
LE PAYS D’ARMOR
Nous avons vu les trolls, gambader sur la lande
Surgir de l’océan, les trois mats éventrés
Nous avons vu les fées danser à Brocéliande
Et l’âme des marins, dans les cieux tourmentés
Rouge était le granit, rose il est devenu
Usé par la marée, épongé par le temps
Qui se soucie encore des chevaliers d’Artus ?
Ou de ces royalistes, que l’on nommait chats-huants !
Il reste cependant sur ces sites magiques
L’empreinte de Merlin, le souffle des géants
Qui fera a jamais de cette terre d’Armorique
Du passé, du futur un éternel présent !
RENE
Nous avons vu les trolls, gambader sur la lande
Surgir de l’océan, les trois mats éventrés
Nous avons vu les fées danser à Brocéliande
Et l’âme des marins, dans les cieux tourmentés
Rouge était le granit, rose il est devenu
Usé par la marée, épongé par le temps
Qui se soucie encore des chevaliers d’Artus ?
Ou de ces royalistes, que l’on nommait chats-huants !
Il reste cependant sur ces sites magiques
L’empreinte de Merlin, le souffle des géants
Qui fera a jamais de cette terre d’Armorique
Du passé, du futur un éternel présent !
RENE
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