comment va la Terre ?

Au fait, comment va la Terre ?
Mal ou très mal ?
Dans Maxi-Sciences :





"Comment se porte notre Terre ? Mal."… C’est ainsi que l’on pourrait résumer la situation de la Planète bleue si l’on s’en tient aux prémonitions de la catastrophe écologique qui devrait s’abattre sur elle dans très peu de temps. La pollution permet d’expliquer une partie des pathologies qui la gangrènent désormais, qu’elle soit anthropique ou d’origine non humaine.

La pollution désigne dans son sens large la dégradation d’un milieu naturel, l’environnement humain en l’occurrence, par des substances chimiques, des déchets industriels ou ménagers, et toutes sortes d’énergies sous forme de bruit, de chaleur, de lumière, de rayonnement radioactif, etc.

Au point que cette pollution entraînera ou entraîne déjà, invariablement, des conséquences sur la santé humaine, la préservation des organismes vivants, l’environnement et bien sûr le climat. En d’autres termes et si l’on pousse plus loin le raisonnement, la pollution représente une menace pour toutes les formes de vie.

On distingue deux types de pollution : celle due à l’activité humaine et qui constitue de loin la cause majeure de la dégradation de notre environnement, et celle d’origine «naturelle» qui ne doit logiquement pas être imputée à l’Homme même si elle peut être accrue par ce dernier.
Lorsque l’on évoque la pollution anthropique, l’exemple le plus éloquent reste les gaz à effet de serre dus à la combustion de carburants fossiles, rejetés en masse dans l’atmosphère depuis les différentes révolutions industrielles et responsables du réchauffement climatique.

Pendant des décennies, les usines ont déversé sans vergogne des quantités astronomiques de substances nocives aussi bien dans les cours d’eaux, rivières, océans, que dans les airs.

Aujourd’hui l’idée de mise en péril de notre planète et de ses écosystèmes a trouvé son chemin jusqu’aux consciences, seulement la pollution industrielle ne semble pas sur le point d’être enrayée pour autant.

On peut lui attribuer trois sources principales : la production d’énergie qui gaspille les ressources naturelles de la Terre, non renouvelables, et contamine l’environnement par d’innombrables matières toxiques ; l’industrie chimique qui produit chaque année des tonnes de déchets et polluants divers et l’agriculture qui, avec l’élevage intensif de bovins notamment, contribue à rejeter des quantités phénoménales de méthane dans l’atmosphère, sans oublier un usage massif d’engrais chimiques et de pesticides.

De plus, les «petites» pollutions quotidiennes ne favorisent pas un retour à un certain respect de l’environnement. En effet, le problème automobile avec la combustion de l’essence ou encore la climatisation qui libère du CO2, le rejet de chlorofluorocarbones (gaz présents notamment dans les appareils réfrigérants et les bombes aérosols, responsables de la destruction de l’ozone) et la déforestation (engendrant à elle seule 18 % à 20 % des émissions de gaz à effet de serre) englobent déjà une bonne partie des difficultés qu’aujourd’hui l’ensemble des acteurs porte-paroles de l’écologie tente de faire disparaître.

Quant à la pollution d’origine non humaine, elle ne résulte que des conséquences directes ou indirectes de catastrophes naturelles (volcanisme par exemple), de phénomènes naturels et de pollution des eaux par la faune.

Autant dire, une insignifiante goutte de solvant dans un océan déjà bien attaqué par le sulfure d’hydrogène, gaz acide qui confère cette odeur «d’œuf pourri» aux eaux contaminées

comment va la terre ?

nous ne faisons pas grand chose pour elle !!
et comme l'argent passe avant tout !!
on ne va pas laisser quelque choses de bien à nos enfants

ceci dit il y a eu des époques de glaciations et des époques de réchauffement bien avant l'homme !!

ou se situe la vérité ???