Mercredi 30 septembre

vagabond a écrit:Bonjour Claude ! la cure se passe bien ??
mais j'appelle aussi pour les canards et le squatteur de canapé !!! ils vont bien aussi ???
bonne journée à vous trois !!!
j'ose une petite bise à madame !!!! :D

vagabond a écrit:Bonjour Claude ! la cure se passe bien ?? Je me contente de faire l'intendance, la cure c'est Madame!mais j'appelle aussi pour les canards et le squatteur de canapé !!! ils vont bien aussi ???
bonne journée à vous trois !!!
j'ose une petite bise à madame !!!! :D

Monsieur Wu a écrit:Bonjour à toutes et à tous,

Pour répondre à Pag, en art la reproduction d'un crâne est appelée " vanitas ". C'est une allégorie sur la brièveté de la vie et rappelle à l'homme qu'il n'est que de passage sur terre et que rien n'a d'importance que la vie spirituelle.
Les vanitas sont considérés comme des natures mortes (sans jeu de mot).
A plus...

Monsieur Wu a écrit:Ma p'tite fille,

Lorsque quelqu'un a posté avant toi, pendant que tu écris ton texte, lorsque tu fais envoyer, on te signale qu'une intervention a eu lieu pendant que tu écrivais.
Il te faut donc envoyer une deuxième fois...

A plus...

Monsieur Wu a écrit:Ma p'tite fille,

Bien compris papa !

chat2ouille a écrit:Bonjour,

Voilà que le jardin émerge d’une torpeur lente, comme lassée de fadeur d’un air un peu trop doux. Même les roses pleurent quelques perles de brume, le soleil s’enrhume de poussières d’étoiles.
La couleur se délave, aux feuillages épars, herbages clairsemés, aux longs bras nus des arbres ennuyés de silence. Une brise maussade berce doucement la nature en partance, vers un sommeil dolent
L’usure du temps chavire d’heures molles et vides, l’absence fait son ravage.
La vie va en naufrage sur des plages incertaines, d’un été bien serein, noyé aux yeux fontaines, si loin, si loin, trop loin, pour qui compte le jour en ignorant demain.
La distance n’est rien, juste deux mains qui se lâchent, et le silence que gâchent d’inutiles chagrins.

Au pied du cerisier, un rond tapis de feu, les jours déshabillent sauvagement le bleu.
Les pommes parfumées de rondeurs sucrées roulent d’un bruit sourd au moelleux doux de l’herbe, comme on pose une peine trop lourde à porter, avec délicatesse.

C’était bien, voilà tout, nous sommes demain,
Bisous à vous

chat2ouille a écrit:Bonjour,

Voilà que le jardin émerge d’une torpeur lente, comme lassée de fadeur d’un air un peu trop doux. Même les roses pleurent quelques perles de brume, le soleil s’enrhume de poussières d’étoiles.
La couleur se délave, aux feuillages épars, herbages clairsemés, aux longs bras nus des arbres ennuyés de silence. Une brise maussade berce doucement la nature en partance, vers un sommeil dolent
L’usure du temps chavire d’heures molles et vides, l’absence fait son ravage.
La vie va en naufrage sur des plages incertaines, d’un été bien serein, noyé aux yeux fontaines, si loin, si loin, trop loin, pour qui compte le jour en ignorant demain.
La distance n’est rien, juste deux mains qui se lâchent, et le silence que gâchent d’inutiles chagrins.

Au pied du cerisier, un rond tapis de feu, les jours déshabillent sauvagement le bleu.
Les pommes parfumées de rondeurs sucrées roulent d’un bruit sourd au moelleux doux de l’herbe, comme on pose une peine trop lourde à porter, avec délicatesse.

C’était bien, voilà tout, nous sommes demain,
Bisous à vous