Le fil du jour et de l'amitié
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samedi 5 janvier

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Message par Eventail Sam 5 Jan - 7:59

Bonjour à tous.
Déjà 5 jours de passés depuis la nouvelle année. Maintenant, attendons le printemps.........
L'hiver est une saison que je n'aime pas : une saison est suspend où rien ne se passe dans l'attente du printemps et du renouveau.
Il fait toujours aussi beau et même que l'on se croirait déjà au printemps.

Aujourd'hui on fête les Edouard :

Roi d'Angleterre (+ 1066)
Il fut le dernier roi à régner sur l'Angleterre avant la conquête de ce pays par les Normands de Guillaume le Conquérant. Il avait horreur du sang versé. Son peuple le chérissait. Aussi éminent par sa piété que par sa générosité, il sut se faire l'ami des petites gens et fut vite l'objet d'un culte populaire, mais il n'était pas fait pour être roi.
Après bien des querelles pour le pouvoir en Angleterre, la situation n'était pas bien claire. Les Danois avec le roi Canut régnaient sur l'est du pays, la Norvège et le Danemark. Edmond "Côte de Fer" prince d'Angleterre avait été assassiné et sa femme s'était réfugiée en Normandie. Leur fils Edouard revint en Angleterre et y rétablit la couronne par sa sagesse, son humilité et sa compétence. Il cherchait toujours l'entente et la réconciliation là où c'était possible. Les expéditions danoises échouèrent. Le royaume connut une période moins troublée. Il épousa une princesse et vécurent toujours l'un et l'autre dans l'union la plus intime et la plus parfaite. Pourtant les guerres continuaient de se succéder entre Gallois et Anglais, entre les partisans d'Harold et ceux de Malcolm en Ecosse, ce qui n'empêcha pas saint Edouard de légiférer pour son royaume afin d'y établir meilleure justice et plus grande attention aux pauvres. Il résidait à Londres et à Westminster où il fit construire sa cathédrale. Il mourut quelque temps après sa dédicace.
Décédé le 5 janvier 1066, il est aussi fêté le 13 octobre, date à laquelle son corps fut transféré dans le tombeau prévu pour lui (1163).


Bonne journée à tous
Un, non plein de bisous à Rosalie et à Cricri si elle par par ici..........

bises
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Message par Invité Sam 5 Jan - 8:07

samedi 5 janvier 10041610

Nous avons rendu les Péquelets à leurs Parents, deux jours de repos bien mérités! nous sommes ravis de les avoir, mais nous devons reconnaitre que c'est assez pénible, il faut les sortir, les occuper, et surtout supporter le bruit, auquel nous ne sommes plus habitués!
Hier nous discutions avec des amis, disant que les gosses actuellement, il faut toujours jouer avec eux, et trouver des occupations, alors que les notres, s'amusaient seuls ou entre eux! c'est sur qu'ils sont très éveillés! nos gamins avaient également une chance c'est qu'avant nous pouvions les laisser jouer dans le jardin, ou dans la "rue" (rue privée avec place assez importante avec arbres dans lesquels ils faisaient des cabanes) ils étaient nombreux, et toujours des adultes pouvaient garder un oeil sur eux, actuellement dans le même quartier, nous n'osons les laisser seuls dans le jardin, et encore moins dans la rue pour faire du vélo ou de la patinette! quant à monter aux arbres, ils ne savent plus, puisque nous ne les laissons plus faire, ils vont à accro branches, les temps ont vraiment changés et pas en bien malheureusement!

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Message par chat2ouille Sam 5 Jan - 14:37

Bonjour,

Vous parlez d'enfance ....
Je vous dois un aveu comme une confidence

Amis, si vous saviez, ce que l'enfance porte de souvenirs, ce
qu'elle nous guette, même nous épie, comme elle nous brûle aux joues
plus surement qu'un soufflet.
Il lui suffit d'un rien, une petite excuse, pour faire du jour matin un
jour vieux d'autrefois, une mélancolie jolie.

C'est fou ce que l'on croit oublier de choses, prenant le temps pour
baume quand il est là, guettant la peur, à l'affût de ce qui égratigne
le coeur. C'est à croire qu'il y a délice à ce maraud de nous faire
supplice des souvenirs d'enfance.

Les pleurs ont délavés la craie de la marelle, de la terre au ciel,
mais qu'ai-je donc fait de ce galet qui gagnait d'un pas la plus
chanceuse ?
A cloche pied, en équilibre, en funambule j'étais habile.
Chaque bond me rapprochant du paradis aussi surement que des ailes me
poussaient dans le dos.
Vous ne me croyez pas ! on voit bien que vous n'y étiez pas.
Même aux billes les garçons perdaient leur moisson de calots, d'agates,
quand mes préférées étaient celles de terre peintes.
Et ils pouvaient aussi trembler pour leurs osselets, ils ne vivaient
pas longtemps dans leur cartable.
Jeux de garçons, foutaise, ils en sont bien venus à jouer à la poupée,
alors ....

Envolées nos ritournelles enivrant de tourbillons nos danses folles
telles gitanes, dévoilant la dentelle de quelques jupons de tulle.
Comment ça de vulgaires chiffons, je vous demande bien pardon, dernier
usage de draps rappés de trop de nuits, tout neufs à nous faire
princesse de la cour des miracles, quelques voilages, dessous vaporeux.

L'innocence riait, libre de toute querelle. nous ne savions rien de la
vie sauf à la mordre à pleines dents, sans rancoeur ni blessure. Nos
safaris fous à travers champs, avant de se réfugier aux ombres des sous
bois.
Là-bas la source, pianotant aux rochers ses gouttes de musique.
Au bout du raidillon notre cabane, mais pas n'importe quelle cabane, je
m'excuse, les plus grands bâtisseurs n'avaient qu'à bien se tenir. Que dis-je une cabane ... un refuge, un secret de feuillages, une boîte remplie de trésors, coquillages, pierres belles, bien cachée sous quelques branchages.
Naïveté dites-vous, n'en croyez rien nous étions certaines de l'inviolable de nos secrets.
Ca peut être très beau la confiance, n'en doutez pas Amis vous
seriez désarmés.
Est-elle encore là, qui sait, l'enfance a de ces rébellions qui valent
bien que l'on s'attarde un peu à la croire vivante quelque part.
Sinon à quoi bon les rêves !

La nuit a mangé d'ombres le jardin, je me sens vide, un silence de
chagrin.
Ainsi se creusent les rides, aux heures arides
Première nuit sans elle, a-t-elle peur, est-elle bien, ma vie chancèle
vers demain

Je n'ai pas su, hier, vous passer ce chagrin.
Ce matin, l'aube était à naître, je fumais au jardin ma première cigarette
La café n'a pas de goût, la marmelade d'oranges est fade, est-ce un
hasard !
La cheminée crépite de mots tendres, ça j'entends ...

Faites de chaque jour une perle de petits bonheur c'est ainsi que se pare une vie, mieux que d'éclats préférez les petits riens qui font qu'on est bien.

Le meilleur pour vous
amicalement
rosalie

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Message par Invité Sam 5 Jan - 16:31

Eventail a écrit:Bonjour à tous.
Déjà 5 jours de passés depuis la nouvelle année. Maintenant, attendons le printemps.........
L'hiver est une saison que je n'aime pas : une saison est suspend où rien ne se passe dans l'attente du printemps et du renouveau.
Il fait toujours aussi beau et même que l'on se croirait déjà au printemps.


bises


Depuis longtemps, j'ai cette philosophie : je ne demande jamais à vieillir car " on sait ce qu'on a, on ignore ce qu'on va avoir" et la vie l'a suffisamment réservé de mauvaises surprises .
Et puis, chaque saison a son charme. Que seraient les fleurs de mai sans les frimas de janvier ?

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Message par Invité Sam 5 Jan - 16:33

chat2ouille a écrit:Bonjour,

Vous parlez d'enfance ....
Je vous dois un aveu comme une confidence

Amis, si vous saviez, ce que l'enfance porte de souvenirs, ce
qu'elle nous guette, même nous épie, comme elle nous brûle aux joues
plus surement qu'un soufflet.
Il lui suffit d'un rien, une petite excuse, pour faire du jour matin un
jour vieux d'autrefois, une mélancolie jolie.

C'est fou ce que l'on croit oublier de choses, prenant le temps pour
baume quand il est là, guettant la peur, à l'affût de ce qui égratigne
le coeur. C'est à croire qu'il y a délice à ce maraud de nous faire
supplice des souvenirs d'enfance.

Les pleurs ont délavés la craie de la marelle, de la terre au ciel,
mais qu'ai-je donc fait de ce galet qui gagnait d'un pas la plus
chanceuse ?
A cloche pied, en équilibre, en funambule j'étais habile.
Chaque bond me rapprochant du paradis aussi surement que des ailes me
poussaient dans le dos.
Vous ne me croyez pas ! on voit bien que vous n'y étiez pas.
Même aux billes les garçons perdaient leur moisson de calots, d'agates,
quand mes préférées étaient celles de terre peintes.
Et ils pouvaient aussi trembler pour leurs osselets, ils ne vivaient
pas longtemps dans leur cartable.
Jeux de garçons, foutaise, ils en sont bien venus à jouer à la poupée,
alors ....

Envolées nos ritournelles enivrant de tourbillons nos danses folles
telles gitanes, dévoilant la dentelle de quelques jupons de tulle.
Comment ça de vulgaires chiffons, je vous demande bien pardon, dernier
usage de draps rappés de trop de nuits, tout neufs à nous faire
princesse de la cour des miracles, quelques voilages, dessous vaporeux.

L'innocence riait, libre de toute querelle. nous ne savions rien de la
vie sauf à la mordre à pleines dents, sans rancoeur ni blessure. Nos
safaris fous à travers champs, avant de se réfugier aux ombres des sous
bois.
Là-bas la source, pianotant aux rochers ses gouttes de musique.
Au bout du raidillon notre cabane, mais pas n'importe quelle cabane, je
m'excuse, les plus grands bâtisseurs n'avaient qu'à bien se tenir. Que dis-je une cabane ... un refuge, un secret de feuillages, une boîte remplie de trésors, coquillages, pierres belles, bien cachée sous quelques branchages.
Naïveté dites-vous, n'en croyez rien nous étions certaines de l'inviolable de nos secrets.
Ca peut être très beau la confiance, n'en doutez pas Amis vous
seriez désarmés.
Est-elle encore là, qui sait, l'enfance a de ces rébellions qui valent
bien que l'on s'attarde un peu à la croire vivante quelque part.
Sinon à quoi bon les rêves !

La nuit a mangé d'ombres le jardin, je me sens vide, un silence de
chagrin.
Ainsi se creusent les rides, aux heures arides
Première nuit sans elle, a-t-elle peur, est-elle bien, ma vie chancèle
vers demain

Je n'ai pas su, hier, vous passer ce chagrin.
Ce matin, l'aube était à naître, je fumais au jardin ma première cigarette
La café n'a pas de goût, la marmelade d'oranges est fade, est-ce un
hasard !
La cheminée crépite de mots tendres, ça j'entends ...

Faites de chaque jour une perle de petits bonheur c'est ainsi que se pare une vie, mieux que d'éclats préférez les petits riens qui font qu'on est bien.

Le meilleur pour vous
amicalement
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Un écrivain a dit : " pardonnez-nous nos enfances, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfantés"

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Message par Invité Sam 5 Jan - 17:09

chat2ouille a écrit:Bonjour,

Vous parlez d'enfance ....
Je vous dois un aveu comme une confidence

Amis, si vous saviez, ce que l'enfance porte de souvenirs, ce
qu'elle nous guette, même nous épie, comme elle nous brûle aux joues
plus surement qu'un soufflet.
Il lui suffit d'un rien, une petite excuse, pour faire du jour matin un
jour vieux d'autrefois, une mélancolie jolie.

C'est fou ce que l'on croit oublier de choses, prenant le temps pour
baume quand il est là, guettant la peur, à l'affût de ce qui égratigne
le coeur. C'est à croire qu'il y a délice à ce maraud de nous faire
supplice des souvenirs d'enfance.

Les pleurs ont délavés la craie de la marelle, de la terre au ciel,
mais qu'ai-je donc fait de ce galet qui gagnait d'un pas la plus
chanceuse ?
A cloche pied, en équilibre, en funambule j'étais habile.
Chaque bond me rapprochant du paradis aussi surement que des ailes me
poussaient dans le dos.
Vous ne me croyez pas ! on voit bien que vous n'y étiez pas.
Même aux billes les garçons perdaient leur moisson de calots, d'agates,
quand mes préférées étaient celles de terre peintes.
Et ils pouvaient aussi trembler pour leurs osselets, ils ne vivaient
pas longtemps dans leur cartable.
Jeux de garçons, foutaise, ils en sont bien venus à jouer à la poupée,
alors ....

Envolées nos ritournelles enivrant de tourbillons nos danses folles
telles gitanes, dévoilant la dentelle de quelques jupons de tulle.
Comment ça de vulgaires chiffons, je vous demande bien pardon, dernier
usage de draps rappés de trop de nuits, tout neufs à nous faire
princesse de la cour des miracles, quelques voilages, dessous vaporeux.

L'innocence riait, libre de toute querelle. nous ne savions rien de la
vie sauf à la mordre à pleines dents, sans rancoeur ni blessure. Nos
safaris fous à travers champs, avant de se réfugier aux ombres des sous
bois.
Là-bas la source, pianotant aux rochers ses gouttes de musique.
Au bout du raidillon notre cabane, mais pas n'importe quelle cabane, je
m'excuse, les plus grands bâtisseurs n'avaient qu'à bien se tenir. Que dis-je une cabane ... un refuge, un secret de feuillages, une boîte remplie de trésors, coquillages, pierres belles, bien cachée sous quelques branchages.
Naïveté dites-vous, n'en croyez rien nous étions certaines de l'inviolable de nos secrets.
Ca peut être très beau la confiance, n'en doutez pas Amis vous
seriez désarmés.
Est-elle encore là, qui sait, l'enfance a de ces rébellions qui valent
bien que l'on s'attarde un peu à la croire vivante quelque part.
Sinon à quoi bon les rêves !

La nuit a mangé d'ombres le jardin, je me sens vide, un silence de
chagrin.
Ainsi se creusent les rides, aux heures arides
Première nuit sans elle, a-t-elle peur, est-elle bien, ma vie chancèle
vers demain

Je n'ai pas su, hier, vous passer ce chagrin.
Ce matin, l'aube était à naître, je fumais au jardin ma première cigarette
La café n'a pas de goût, la marmelade d'oranges est fade, est-ce un
hasard !
La cheminée crépite de mots tendres, ça j'entends ...

Faites de chaque jour une perle de petits bonheur c'est ainsi que se pare une vie, mieux que d'éclats préférez les petits riens qui font qu'on est bien.

Le meilleur pour vous
amicalement
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Merci Rosalie, c'est bien ça!

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Message par Eventail Sam 5 Jan - 17:40

Bonjour Rosalie, Haroun et Maréaction, merci d'être aussi fidèles.
J'entends autour de moi : attention faut pas trop s'attacher aux amis-intervenants des forums. Trop tard ! J'ai mis un pied dans vos vies comme vous dans la mienne.
Alors quand je lis Rosalie, j'aurais envie de la serrer dans mes bras pour apaiser son chagrin.
Et puis, Rosalie : quel talent, quelle sensibilité quand tu nous ouvres ton coeur.
Tes mots sont toute douceur, doux comme le miel même s'ils ont la tristesse d'un départ.
Pour les belles âmes, le paradis est au bout de leur route.
bibi Rosalie
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Message par Invité Sam 5 Jan - 18:00

Eventail a écrit:Bonjour Rosalie, Haroun et Maréaction, merci d'être aussi fidèles.
J'entends autour de moi : attention faut pas trop s'attacher aux amis-intervenants des forums. Trop tard ! J'ai mis un pied dans vos vies comme vous dans la mienne.
Alors quand je lis Rosalie, j'aurais envie de la serrer dans mes bras pour apaiser son chagrin.
Et puis, Rosalie : quel talent, quelle sensibilité quand tu nous ouvres ton coeur.
Tes mots sont toute douceur, doux comme le miel même s'ils ont la tristesse d'un départ.
Pour les belles âmes, le paradis est au bout de leur route.
bibi Rosalie

Et oui, Eve, nous finissons par nous attacher, même virtuellement!
Il faut dire qu'ici, nous avons une jolie brochette de gens sensibles et correctes! Rosalie, notre Poêtesse (un peu triste à mon gout) mais quelle gentillesse, Pot, Haroun, sans vous oublier, également!
Nous devions passer le jour de l'an vers chez vous à Saint Perai, puis problème de dernière minute, ce sont eux qui ont du venir! mais ce n'est que partie remise!

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Message par chat2ouille Sam 5 Jan - 18:26

Un écrivain a dit : " pardonnez-nous nos enfances, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfantés"

Ma bible disait : "pardonnez nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé"

Ferrat lui chantait : "on ne guérit jamais de son enfance"
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Message par chat2ouille Sam 5 Jan - 18:47

Mes Amis "virtuels"

Vos mots me parviennent si doux, la chaleur de tes bras, Eve, me console.
Elle aura un coussin, tout rond, tout blanc de fleurs belles pour reposer son long sommeil et puis qu'importe le chagrin la peine fera son chemin.
On lui fera un pied de nez, bien fait ! ne lui restera que les bas côtés de nos sentiers de promenade.
Demain se dessinera sur son visage un grand sourire et puis nos rires en écho porteront loin les chiquenaudes, les égratignures du temps.

Mon Minet vient de rentrer de plus de dix jours de vadrouille. Et bien, vous ne me croirez pas, ma bouille n'affichait que la lumière.
C'est fou ce que l'on peut se jouer de tout.
Vous me direz, mensonge par omission, n'en croyez rien. Les chagrins ça se rangent juste à côté de la colère. Je suis assez bonne ménagère, et sans vantardise aucune je suis assez fière de cet "exploit"
J'ai triché, enfin un peu, c'est un aveu que je vous dois, j'ai déposé un baiser dans son cou, là, au chaud de sa peau, j'ai respiré son parfum.
L'Amour guérit de tout.
Merci de vos pensées, je vous garde.
affectueusement
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Message par Invité Sam 5 Jan - 19:34

chat2ouille a écrit:Un écrivain a dit : " pardonnez-nous nos enfances, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfantés"

Ma bible disait : "pardonnez nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé"


Les deux citations se rejoignent.
Car bien sur, nous DEVONS pardonner à ceux qui nous ont offensés ( ne serait-ce que par la vie est bien trop courte, comme je l'ai dit l'autre jour, pour la gâter par des ressentiments, et aussi parce que Dieu pardonne les dix mille offenses que nous lui faisons tout au long de notre vie ) et nous DEVONS pardonner à ceux qui nous ont donné la vie, même si cette vie est malheureuse, même si notre enfance a été malheureuse, parce que " si la vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie " clin


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Message par chat2ouille Sam 5 Jan - 19:43

" si la vie ne vaut rien, rien ne vaut la vie "

Souchon, merci Monsieur de ce rappel. Seriez vous quelque peu "coquin" vous avez l'air pourtant si sérieux, je m'en étonne, la carapace se fendillerait-elle ....
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Message par Invité Dim 6 Jan - 8:32

chat2ouille a écrit:Un écrivain a dit : " pardonnez-nous nos enfances, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfantés"

Ma bible disait : "pardonnez nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé"

Ferrat lui chantait : "on ne guérit jamais de son enfance"

C'est malheureusement la seule réalité!

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Message par Invité Dim 6 Jan - 9:54

mareaction a écrit:
chat2ouille a écrit:Un écrivain a dit : " pardonnez-nous nos enfances, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont enfantés"

Ma bible disait : "pardonnez nous nos offenses comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensé"

Ferrat lui chantait : "on ne guérit jamais de son enfance"

C'est malheureusement la seule réalité!

C'est dans les souvenirs que l'enfance est heureuse.
C'est bien connu " c'était mieux avant" .
Dans les souvenirs, avant , les gens étaient plus gentils, la météo était meilleure, il y avait moins de guerres, on était moins malade, on vivait plus vieux, on mangeait mieux, etc. Moi, je n'en crois rien. Il suffit de connaître un peu l'Histoire pour se rendre compte qu'avant, ce n'était pas mieux qu'aujourd'hui. Et que les gens étaient toujours en bisbille les uns contre les autres. Mais, comme dit ironiquement Marcel Pagnol dans ses Souvenirs d'enfance : " il faisait une chaleur torride, la chaleur des étés d'autrefois ! "
Bon, ces considérations désabusées étant dites, je vous souhaite à tous une bonne journée !

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Message par Invité Dim 6 Jan - 11:24

Vous avez raison! nous enjolivons nos souvenirs d'enfance! mais avant n'était vraiment pas mieux, point de vu, travail, confort, santé, soins! les gens mouraient jeunes, souffraient! la seule chose dont je pense, et je me souviens, c'est surtout que la génération d'avant, prenait bien souvent les Parents chez eux, la femme ne travaillant que rarement! les maisons étaient plus grande! les enfants n'allaient pas à la crêche, et ma génération pas à la maternelle! les gens étaient moins envieux, mais surtout n'avaient pas les grandes surfaces, internet, la télé, et les tentations!
Tu travaillais ou tu n'avais rien! etc... était ce mieux? ou plus mal???

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