** VENDREDI 26 FEVRIER A QUE OUI ***

ironimots a écrit:Bisous mesdames et salut messieurs.
Je suis touché par votre attention, merci à vous toutes et tous, merci pour les fleurs, vous avez bonne mémoire, c’est vrai qu’aujourd’hui, je tourne une nouvelle page à mon calendrier, mais c’est la vie...
Je viens vous lire régulièrement, je n’interviens que rarement, vous constituez un groupe tellement soudé et assidu, heureux que cet espace perdure et je vous félicite.

Souvenirs, souvenirs,

Il était une fois, dans un pays lointain,
Un village animé à longueur de journée ;
Sur sa place centrale, dès le petit matin,
Venaient se réunir les gens de la vallée.

Des femmes et des hommes aux goûts bien différents,
Que de discussions parfois interminables,
Et les sujets traités par les intervenants,
Généraient quelques fois des échos détestables.

Des bons et des méchants, et des intolérants,
Des gens sans foi ni loi parmi les fanatiques,
Et des malentendus provoquant des tourments,
Des poèmes pourtant et même des musiques.

Dans un coin, à l’écart des sots, des agités,
Un groupe s’est formé, échappant au tapage,
Comme une bulle d’air, comme un havre de paix,
Un ilot d’amitié insensible à l’orage.

Ainsi chaque matin et après le bonjour,
C’était un grand plaisir d’échanger des idées,
De parler du beau temps, souvent du saint du jour,
De petits plats aussi et sans billevesées.

Las ! Tout à une fin, un vilain promoteur,
Chassait les occupants, construisant sur la place,
Mais le groupe amical, dépassé la stupeur,
Trouvait un bel endroit, le salon d’un palace.

ironimots a écrit:Bisous mesdames et salut messieurs.
Je suis touché par votre attention, merci à vous toutes et tous, merci pour les fleurs, vous avez bonne mémoire, c’est vrai qu’aujourd’hui, je tourne une nouvelle page à mon calendrier, mais c’est la vie...
Je viens vous lire régulièrement, je n’interviens que rarement, vous constituez un groupe tellement soudé et assidu, heureux que cet espace perdure et je vous félicite.

Souvenirs, souvenirs,

Il était une fois, dans un pays lointain,
Un village animé à longueur de journée ;
Sur sa place centrale, dès le petit matin,
Venaient se réunir les gens de la vallée.

Des femmes et des hommes aux goûts bien différents,
Que de discussions parfois interminables,
Et les sujets traités par les intervenants,
Généraient quelques fois des échos détestables.

Des bons et des méchants, et des intolérants,
Des gens sans foi ni loi parmi les fanatiques,
Et des malentendus provoquant des tourments,
Des poèmes pourtant et même des musiques.

Dans un coin, à l’écart des sots, des agités,
Un groupe s’est formé, échappant au tapage,
Comme une bulle d’air, comme un havre de paix,
Un ilot d’amitié insensible à l’orage.

Ainsi chaque matin et après le bonjour,
C’était un grand plaisir d’échanger des idées,
De parler du beau temps, souvent du saint du jour,
De petits plats aussi et sans billevesées.

Las ! Tout à une fin, un vilain promoteur,
Chassait les occupants, construisant sur la place,
Mais le groupe amical, dépassé la stupeur,
Trouvait un bel endroit, le salon d’un palace.