Comptines revisitées
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Comptines revisitées
Je vous propose des comptines "revisitées"... Quelques-unes sont un peu olé olé !!! Je pense que le CHEF ne me censurera pas ?
(Aux marches du palais)
Au marché de Calais
Au marché de Calais
Y a une tant belle garce, lala
Y a une tant belle garce
Elle a de jolis œufs
Elle a de jolis œufs
Que l’on se laisse prendre, lala
Que l’on se laisse prendre
Seulement pour un baiser
Seulement pour un baiser
Faut acheter son beurre, lala
Faut acheter son beurre
Si vous voulez toucher
Si vous voulez toucher
Ell’ vous vend un fromage, lala
Ell’ vous vend un fromage
Si vous voulez encor
Si vous voulez encor
Prenez-lui ses volailles, lala
Prenez-lui ses volailles
Pour dormir dans son lit
Pour dormir dans son lit
Ell’ vend son étalage, lala
Ell’ vend son étalage
Quand vous serez ruiné
Quand vous serez ruiné
La bell’ vous envoie paître, lala
La bell’ vous envoie paître
(Aux marches du palais)
Au marché de Calais
Au marché de Calais
Y a une tant belle garce, lala
Y a une tant belle garce
Elle a de jolis œufs
Elle a de jolis œufs
Que l’on se laisse prendre, lala
Que l’on se laisse prendre
Seulement pour un baiser
Seulement pour un baiser
Faut acheter son beurre, lala
Faut acheter son beurre
Si vous voulez toucher
Si vous voulez toucher
Ell’ vous vend un fromage, lala
Ell’ vous vend un fromage
Si vous voulez encor
Si vous voulez encor
Prenez-lui ses volailles, lala
Prenez-lui ses volailles
Pour dormir dans son lit
Pour dormir dans son lit
Ell’ vend son étalage, lala
Ell’ vend son étalage
Quand vous serez ruiné
Quand vous serez ruiné
La bell’ vous envoie paître, lala
La bell’ vous envoie paître
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
[quote="ironimots"]Je vous propose des comptines "revisitées"... Quelques-unes sont un peu olé olé !!! Je pense que le CHEF ne me censurera pas ?
Article un : le Chef ne censure pas
Article deux : si le Chef censure se reporter à l'article 1
Article un : le Chef ne censure pas
Article deux : si le Chef censure se reporter à l'article 1
chat2ouille- Messages : 1646
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Comptines revisitées
ironimots a écrit:Je vous propose des comptines "revisitées"... Quelques-unes sont un peu olé olé !!! Je pense que le CHEF ne me censurera pas ?
(Aux marches du palais)
Au marché de Calais
Au marché de Calais
Y a une tant belle garce, lala
Y a une tant belle garce
Elle a de jolis œufs
Elle a de jolis œufs
Que l’on se laisse prendre, lala
Que l’on se laisse prendre
Seulement pour un baiser
Seulement pour un baiser
Faut acheter son beurre, lala
Faut acheter son beurre
Si vous voulez toucher
Si vous voulez toucher
Ell’ vous vend un fromage, lala
Ell’ vous vend un fromage
Si vous voulez encor
Si vous voulez encor
Prenez-lui ses volailles, lala
Prenez-lui ses volailles
Pour dormir dans son lit
Pour dormir dans son lit
Ell’ vend son étalage, lala
Ell’ vend son étalage
Quand vous serez ruiné
Quand vous serez ruiné
La bell’ vous envoie paître, lala
La bell’ vous envoie paître
C'est très joyeux tout ça ,de la gaieté ,et très plaisant.....Merci grand chef !
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
ironimots a écrit:Je vous propose des comptines "revisitées"... Quelques-unes sont un peu olé olé !!! Je pense que le CHEF ne me censurera pas ?
(Aux marches du palais)
Au marché de Calais
Au marché de Calais
Y a une tant belle garce, lala
Y a une tant belle garce
Elle a de jolis œufs
Elle a de jolis œufs
Que l’on se laisse prendre, lala
Que l’on se laisse prendre
Seulement pour un baiser
Seulement pour un baiser
Faut acheter son beurre, lala
Faut acheter son beurre
Si vous voulez toucher
Si vous voulez toucher
Ell’ vous vend un fromage, lala
Ell’ vous vend un fromage
Si vous voulez encor
Si vous voulez encor
Prenez-lui ses volailles, lala
Prenez-lui ses volailles
Pour dormir dans son lit
Pour dormir dans son lit
Ell’ vend son étalage, lala
Ell’ vend son étalage
Quand vous serez ruiné
Quand vous serez ruiné
La bell’ vous envoie paître, lala
La bell’ vous envoie paître
Je suis pliée...le chef ? ké chef ? il en rajoutera plutôt une couche oui, tu connais l'oiseau !!! non, pas le pelochon......... :geek:
C'est un joyeux printemps ! je vous souhaite une belle et douce nuit.....bisous
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
C'est un joyeux printemps ! je vous souhaite une belle et douce nuit.....bisous[/quote]
Bonne nuit Cricri, bonne nuit à tous
Bonne nuit Cricri, bonne nuit à tous
chat2ouille- Messages : 1646
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Comptines revisitées
Bonsoir Iro Rosalie et Cricri
Moi je n’ai pas de comptines
Mais un petit truc que j’avais fait pour Ninie et sa copine Cricri
Et pour les couches comme le dis Cricri pas de problème !!et le polochon aussi
Ma colocataire
Je suis un joli cabot des plus ordinaires
Toujours dans les pattes de ma colocataire
Faut vous dire qu’à nous deux
On occupe de quoi remplir un ptit F2
Oh ! Je ne suis pas bien encombrant
Je demande juste à sortir de temps en temps
Le quartier est sympa ma copine est jolie
J’ai oublié de vous dire je m’appelle Nini
Voila je suis juste un cabot ordinaire
Mais j’aime déjà ma colocataire
Mau
Moi je n’ai pas de comptines
Mais un petit truc que j’avais fait pour Ninie et sa copine Cricri
Et pour les couches comme le dis Cricri pas de problème !!et le polochon aussi
Ma colocataire
Je suis un joli cabot des plus ordinaires
Toujours dans les pattes de ma colocataire
Faut vous dire qu’à nous deux
On occupe de quoi remplir un ptit F2
Oh ! Je ne suis pas bien encombrant
Je demande juste à sortir de temps en temps
Le quartier est sympa ma copine est jolie
J’ai oublié de vous dire je m’appelle Nini
Voila je suis juste un cabot ordinaire
Mais j’aime déjà ma colocataire
Mau
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
vagabon a écrit:Bonsoir Iro Rosalie et Cricri
Moi je n’ai pas de comptines
Mais un petit truc que j’avais fait pour Ninie et sa copine Cricri
Et pour les couches comme le dis Cricri pas de problème !!et le polochon aussi
Ma colocataire
Je suis un joli cabot des plus ordinaires
Toujours dans les pattes de ma colocataire
Faut vous dire qu’à nous deux
On occupe de quoi remplir un ptit F2
Oh ! Je ne suis pas bien encombrant
Je demande juste à sortir de temps en temps
Le quartier est sympa ma copine est jolie
J’ai oublié de vous dire je m’appelle Nini
Voila je suis juste un cabot ordinaire
Mais j’aime déjà ma colocataire
Mau
Et moi qui croyais qu'il avait fait un poeme pour cette Nini, pff !
On part en vacances deux semaines et hop dans le placard aux oubliettes, on vous met !
Merci Cricri pour avoir demande de mes nouvelles, y a au moins quelqu'un qui s'interesse a moi :)
unnissart- Messages : 30
Date d'inscription : 21/03/2009
Localisation : PACA
Re: Comptines revisitées
Bonjour Iro;pour jouer avec vous,revisitons: Ne pleure pas Jeannette!
Pleure pas Maminette
Traderidera lalala
Pleure pas Maminette
On se retrouvera on se retrouvera
Y a un forum qui ferme,
Un autre s'ouvrira
Les amis que tu aimes
Tu les retrouveras
Et tous ceux qui t'emm betent
On les pendouillera!!!!!!!!!
Pleure pas Maminette
Traderidera lalala
Pleure pas Maminette
On se retrouvera on se retrouvera
Y a un forum qui ferme,
Un autre s'ouvrira
Les amis que tu aimes
Tu les retrouveras
Et tous ceux qui t'emm betent
On les pendouillera!!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
Comme Mamimette, celles et ceux qui veulent s'amuser à pasticher les comptines sont invités à me suivre sur ce terrain, il y a de quoi faire...
C’est l’bon temps
C’est l’ bon temps, c’est l’ bon temps
C’est l’ bon temps, la vie est belle
C’est l’bon temps, c’est l’bon temps
C’est l’bon temps, voici le printemps
Devant chez moi y a un couvent
Les nonnettes s’en vont priant
Refrain
Y a un jardin bien assez grand
Où la plus jeune va souvent
Refrain
Je la rejoins et sur un banc
Elle enlève ses vêtements
Refrain
Elle en oublie son engagement
Et jette aux orties son serment
Refrain
Une autre sœur vint en passant
Elle en voulait au moins autant
Refrain
Depuis je suis le seul amant
Des religieuses du couvent
Refrain
C’est l’bon temps
C’est l’ bon temps, c’est l’ bon temps
C’est l’ bon temps, la vie est belle
C’est l’bon temps, c’est l’bon temps
C’est l’bon temps, voici le printemps
Devant chez moi y a un couvent
Les nonnettes s’en vont priant
Refrain
Y a un jardin bien assez grand
Où la plus jeune va souvent
Refrain
Je la rejoins et sur un banc
Elle enlève ses vêtements
Refrain
Elle en oublie son engagement
Et jette aux orties son serment
Refrain
Une autre sœur vint en passant
Elle en voulait au moins autant
Refrain
Depuis je suis le seul amant
Des religieuses du couvent
Refrain
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
a mon fils devenu grand
Mes mains étaient occupées à longueur de journée,
Je n'avais pas le temps de m'amuser avec toi;
Tu me demandais souvent : "Viens jouer avec moi",
Je n'avais guère de temps à te consacrer.
Je lavais tes vêtements, je cousais, je cuisinais,
Et lorsque tu m'apportais ton livre d'histoires,
En espérant le regarder un peu avant le soir,
Peut-être plus tard... que je te répondais.
Je te bordais toujours la nuit venue;
J'écoutais tes prières et j'éteignais la lampe
Avant de refermer la porte de ta chambre.
Comme je regrette de n'être pas restée un peu plus.
Car la vie est courte et les années filent à jamais;
Un petit garçon grandit si rapidement, vous savez.
Quelques années et il n'est plus à vos côtés,
Prêt à vous confier ses joies, ses peines et ses secrets.
Ton beau livre est rangé depuis longtemps;
Il n'y a plus de jeux à partager, plus de bruit,
Plus de prières, plus de bisous avant la nuit.
Tout cela appartient à notre passé maintenant.
Mes mains, naguère si occupées, ne servent plus désormais;
Les journées se font longues et difficiles à remplir.
Comme j'aimerais pouvoir fermer les yeux et revenir
À ces jeux auxquels, petit garçon, tu me conviais
Mes mains étaient occupées à longueur de journée,
Je n'avais pas le temps de m'amuser avec toi;
Tu me demandais souvent : "Viens jouer avec moi",
Je n'avais guère de temps à te consacrer.
Je lavais tes vêtements, je cousais, je cuisinais,
Et lorsque tu m'apportais ton livre d'histoires,
En espérant le regarder un peu avant le soir,
Peut-être plus tard... que je te répondais.
Je te bordais toujours la nuit venue;
J'écoutais tes prières et j'éteignais la lampe
Avant de refermer la porte de ta chambre.
Comme je regrette de n'être pas restée un peu plus.
Car la vie est courte et les années filent à jamais;
Un petit garçon grandit si rapidement, vous savez.
Quelques années et il n'est plus à vos côtés,
Prêt à vous confier ses joies, ses peines et ses secrets.
Ton beau livre est rangé depuis longtemps;
Il n'y a plus de jeux à partager, plus de bruit,
Plus de prières, plus de bisous avant la nuit.
Tout cela appartient à notre passé maintenant.
Mes mains, naguère si occupées, ne servent plus désormais;
Les journées se font longues et difficiles à remplir.
Comme j'aimerais pouvoir fermer les yeux et revenir
À ces jeux auxquels, petit garçon, tu me conviais
Invité- Invité
Il était une bergère
Il était une bergère
Il était une bergère
Et ron et ron petit polisson
Il était une bergère
Qui aimait les garçons
Ron ron, qui aimait les garçons
Elle fit un scandale
Et ron et ron petit polisson
Elle fit un scandale
En montrant son jupon
Ron ron, en montrant son jupon
Pierrot on le devine
Et ron et ron petit polisson
Pierrot on le devine
Baissa son caleçon
Ron ron, baissa son caleçon
La belle était vénale
Et ron et ron petit polisson
La belle était vénale
Et voulait du jambon
Ron ron, et voulait du jambon
Pierrot fut prit au piège
Et ron et ron petit polisson
Pierrot fut pris au piège
Il tua son cochon
Ron ron, il tua son cochon
La bergère impatiente
Et ron et ron petit polisson
La bergère impatiente
Invita un fripon
Ron ron, invita un fripon
Ainsi sont toutes les dames
Et ron et ron petit polisson
Ainsi sont toutes les dames
Retenez la leçon
Ron ron, retenez la leçon
Morale de l’histoire
Et ron et ron petit polisson
Morale de l’histoire
Prenez-les sans façon
Ron ron, prenez-les sans façon
Il était une bergère
Et ron et ron petit polisson
Il était une bergère
Qui aimait les garçons
Ron ron, qui aimait les garçons
Elle fit un scandale
Et ron et ron petit polisson
Elle fit un scandale
En montrant son jupon
Ron ron, en montrant son jupon
Pierrot on le devine
Et ron et ron petit polisson
Pierrot on le devine
Baissa son caleçon
Ron ron, baissa son caleçon
La belle était vénale
Et ron et ron petit polisson
La belle était vénale
Et voulait du jambon
Ron ron, et voulait du jambon
Pierrot fut prit au piège
Et ron et ron petit polisson
Pierrot fut pris au piège
Il tua son cochon
Ron ron, il tua son cochon
La bergère impatiente
Et ron et ron petit polisson
La bergère impatiente
Invita un fripon
Ron ron, invita un fripon
Ainsi sont toutes les dames
Et ron et ron petit polisson
Ainsi sont toutes les dames
Retenez la leçon
Ron ron, retenez la leçon
Morale de l’histoire
Et ron et ron petit polisson
Morale de l’histoire
Prenez-les sans façon
Ron ron, prenez-les sans façon
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
La Mère Michel
C'est l 'amer Lucien qui nous a pondu ça
Les femmes ça sert à rien, juste à faire les repas
C'est le super Juju qui lui a répondu
J'm'en va t'prêter la mienne, moi j'en ai plein le hu !
C'était dans l'sud, tra la la (bis)
C'était dans l'sud et pi c'est tout, couroucoucou
C'est l'père Marcelin qui entendant tout ça
Se dit j'men va trousser la joyeuse à Juju
Pis'qu'il en a plein le hu, pisqu'il en a plein le hu
J'en vas en profiter,tur lu tu tu tu tu
Refrain
J'men va vous chanter un bien joli refrain
Regardez mon balcon, c'est l'plus joli jardin
Enfoncez dans vos poches vos grosses et sales mains
Car mon p'tit hu à moi il est tout à Justin
Refrain
Qu'est ce qu'il faut pas faire en sortant du bureau
C'est l 'amer Lucien qui nous a pondu ça
Les femmes ça sert à rien, juste à faire les repas
C'est le super Juju qui lui a répondu
J'm'en va t'prêter la mienne, moi j'en ai plein le hu !
C'était dans l'sud, tra la la (bis)
C'était dans l'sud et pi c'est tout, couroucoucou
C'est l'père Marcelin qui entendant tout ça
Se dit j'men va trousser la joyeuse à Juju
Pis'qu'il en a plein le hu, pisqu'il en a plein le hu
J'en vas en profiter,tur lu tu tu tu tu
Refrain
J'men va vous chanter un bien joli refrain
Regardez mon balcon, c'est l'plus joli jardin
Enfoncez dans vos poches vos grosses et sales mains
Car mon p'tit hu à moi il est tout à Justin
Refrain
Qu'est ce qu'il faut pas faire en sortant du bureau
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
J’avoue que je rigole bien à vous lire
Je vais peut être faire un essai moi aussi !!
Bonne soirée les artistes de la plume
Je vais peut être faire un essai moi aussi !!
Bonne soirée les artistes de la plume
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
La joyeuse a Juju
avait sa culotte a l'envers
La grande Cricri lui dit
O ma belle, tu as bu
T'es mal culottee, t'as vu
C'est vrai lui dit la legere
Pas le temps de la remettre a l'endroit
....
Ne m'en demandez pas plus, la poesie n'est pas mon fort.
avait sa culotte a l'envers
La grande Cricri lui dit
O ma belle, tu as bu
T'es mal culottee, t'as vu
C'est vrai lui dit la legere
Pas le temps de la remettre a l'endroit
....
Ne m'en demandez pas plus, la poesie n'est pas mon fort.
unnissart- Messages : 30
Date d'inscription : 21/03/2009
Localisation : PACA
Re: Comptines revisitées
unnissart a écrit:La joyeuse a Juju
avait sa culotte a l'envers
La grande Cricri lui dit
O ma belle, tu as bu
T'es mal culottee, t'as vu
C'est vrai lui dit la legere
Pas le temps de la remettre a l'endroit
....
Ne m'en demandez pas plus, la poesie n'est pas mon fort.
C'est un bon début Nissart ! et puis, on est là pour s'amuser :D
Mais ils sont où tous ce soir ? c'est vrai qu il y a une bonne émission ce soit sur Napoli et les Napolitains ! Les racines et des ailes.....j'ai appris comme ça que O sole mio est né en Ukraine.....en 1870 je crois.....hé oui !!
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
La fille de Nevers (petite-cousine du roi Dagobert)
La fille de Nevers, avait de superbes yeux verts
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi
Prenez-garde à vous, aux hommes pressés
C’est bien vrai monseigneur restez donc toujours prés de moi
La fille de Nevers, voulait voir la feuille à l’envers
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi,
Prenez-garde à vous, à cette rosée
C’est bien vrai monseigneur, je vais me protéger du froid
La fille de Nevers, rêvait de montrer son couvert
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi,
Prenez-garde à vous, à la cheminée
C’est bien vrai monseigneur, je vais mettre une porte en bois
La fille de Nevers, aimait bien les garçons pervers
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi,
Prenez-garde à vous, à votre orchidée
C’est bien vrai monseigneur, ils devront respecter ma loi
La fille de Nevers, avait grande envie de dessert
Et son confesseur lui dit : Ô ma foi
Je veux bien pour vous me déshabiller
Bonne idée monseigneur, vous avez ce qu’il faut je vois
La fille de Nevers, avait de superbes yeux verts
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi
Prenez-garde à vous, aux hommes pressés
C’est bien vrai monseigneur restez donc toujours prés de moi
La fille de Nevers, voulait voir la feuille à l’envers
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi,
Prenez-garde à vous, à cette rosée
C’est bien vrai monseigneur, je vais me protéger du froid
La fille de Nevers, rêvait de montrer son couvert
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi,
Prenez-garde à vous, à la cheminée
C’est bien vrai monseigneur, je vais mettre une porte en bois
La fille de Nevers, aimait bien les garçons pervers
Mais son confesseur lui dit : Ô ma foi,
Prenez-garde à vous, à votre orchidée
C’est bien vrai monseigneur, ils devront respecter ma loi
La fille de Nevers, avait grande envie de dessert
Et son confesseur lui dit : Ô ma foi
Je veux bien pour vous me déshabiller
Bonne idée monseigneur, vous avez ce qu’il faut je vois
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
BONJOUR Iro ,
Comme je vois que la Nièèvrre,te plais bien ,après les vilains bourgeois de Château-Chinon .....l'hiver là-bas y est très rude ,vécue 3 ans ....et là tu parles encore de la fille de NEVERS Voilà l'histoire ,une partie car très longue cette histoire,32 chapitres ,du perroquet vert-vert de NEVERS ......
......Jean-Baptiste Gresset et Ver-Vert
Professeur jésuite et père du perroquet Ver-Vert (1709-1777)..
Vert-Vert ou les voyages du perroquet de la visitation de Nevers
Jean-Baptiste Gresset
Vous, près de qui les graces solitaires
brillent sans fard, et regnent sans fierté,
vous, dont l'esprit, né pour la vérité,
sçait allier à des vertus austeres
le goût, les ris, l'aimable liberté ;
puisqu'à vos yeux vous voulez que je trace
d'un noble oiseau la touchante disgrace,
soyez ma muse, échauffez mes accens,
et prêtez-moi ces sons intéressans,
ces tendres sons que forma votre lyre,
lorsque Sultane, au printems de ses jours,
fut enlevée à vos tristes amours,
et descendit au ténébreux empire :
de mon héros les illustres malheurs,
peuvent aussi se promettre vos pleurs.
Sur sa vertu, par le sort traversée,
sur son voyage et ses longues erreurs,
on auroit pû faire une autre odissée ;
et, par vingt chants, endormir les lecteurs :
on auroit pû, des fables surannées,
ressusciter les diables et les dieux ;
des faits d' un mois, occuper des années ;
et, sur des tons d' un sublime ennuyeux,
psalmodier la course infortunée
d' un perroquet, non moins brillant qu' énée,
non moins dévôt, plus malheureux que lui.
Mais trop de vers entraînent trop d' ennui.
Les muses sont des abeilles volages ;
leur goût voltige, il fuit les longs ouvrages ;
et, ne prenant que la fleur d' un sujet,
vole bien-tôt sur un nouvel objet.
Dans vos leçons j'ai puisé ces maximes ;
puissent vos loix se lire dans mes rimes !
Si, trop sincere, en traçant ces portraits,
j'ai dévoilé les mistéres secrets,
l'art des parloirs, la science des grilles,
les graves riens, les mistiques vetilles,
votre enjoûment me passera ces traits ;
votre raison, exempte de foiblesses,
sçait vous sauver ces fades petitesses ;
sur votre esprit, soumis au seul devoir,
l'illusion n'eut jamais de pouvoir :
vous sçavez trop qu'un front que l'art déguise,
plaît moins au ciel qu'une aimable franchise.
Si la vertu se montroit aux mortels,
ce ne seroit, ni par l'art des grimaces,
ni sous des traits farouches et cruels,
mais sous votre air, ou sous celui des graces
qu'elle viendroit mériter nos autels.
Dans maint auteur de science profonde,
j'ai lû qu'on perd à trop courir le monde ;
très-rarement en devient-on meilleur :
un sort errant ne conduit qu'à l'erreur.
Il nous vaut mieux vivre au sein de nos lares,
et conserver, paisibles casaniers,
notre vertu dans nos propres foyers,
que parcourir bords lointains et barbares ;
sans quoi le cœur, victime des dangers,
revient chargé des vices étrangers.
L'affreux destin du héros que je chante,
en éternise une preuve touchante :
tous les échos des parloirs de Nevers,
si l'on en doute, attesteront mes vers.
à Nevers donc chez les visitandines,
Comme je vois que la Nièèvrre,te plais bien ,après les vilains bourgeois de Château-Chinon .....l'hiver là-bas y est très rude ,vécue 3 ans ....et là tu parles encore de la fille de NEVERS Voilà l'histoire ,une partie car très longue cette histoire,32 chapitres ,du perroquet vert-vert de NEVERS ......
......Jean-Baptiste Gresset et Ver-Vert
Professeur jésuite et père du perroquet Ver-Vert (1709-1777)..
Vert-Vert ou les voyages du perroquet de la visitation de Nevers
Jean-Baptiste Gresset
Vous, près de qui les graces solitaires
brillent sans fard, et regnent sans fierté,
vous, dont l'esprit, né pour la vérité,
sçait allier à des vertus austeres
le goût, les ris, l'aimable liberté ;
puisqu'à vos yeux vous voulez que je trace
d'un noble oiseau la touchante disgrace,
soyez ma muse, échauffez mes accens,
et prêtez-moi ces sons intéressans,
ces tendres sons que forma votre lyre,
lorsque Sultane, au printems de ses jours,
fut enlevée à vos tristes amours,
et descendit au ténébreux empire :
de mon héros les illustres malheurs,
peuvent aussi se promettre vos pleurs.
Sur sa vertu, par le sort traversée,
sur son voyage et ses longues erreurs,
on auroit pû faire une autre odissée ;
et, par vingt chants, endormir les lecteurs :
on auroit pû, des fables surannées,
ressusciter les diables et les dieux ;
des faits d' un mois, occuper des années ;
et, sur des tons d' un sublime ennuyeux,
psalmodier la course infortunée
d' un perroquet, non moins brillant qu' énée,
non moins dévôt, plus malheureux que lui.
Mais trop de vers entraînent trop d' ennui.
Les muses sont des abeilles volages ;
leur goût voltige, il fuit les longs ouvrages ;
et, ne prenant que la fleur d' un sujet,
vole bien-tôt sur un nouvel objet.
Dans vos leçons j'ai puisé ces maximes ;
puissent vos loix se lire dans mes rimes !
Si, trop sincere, en traçant ces portraits,
j'ai dévoilé les mistéres secrets,
l'art des parloirs, la science des grilles,
les graves riens, les mistiques vetilles,
votre enjoûment me passera ces traits ;
votre raison, exempte de foiblesses,
sçait vous sauver ces fades petitesses ;
sur votre esprit, soumis au seul devoir,
l'illusion n'eut jamais de pouvoir :
vous sçavez trop qu'un front que l'art déguise,
plaît moins au ciel qu'une aimable franchise.
Si la vertu se montroit aux mortels,
ce ne seroit, ni par l'art des grimaces,
ni sous des traits farouches et cruels,
mais sous votre air, ou sous celui des graces
qu'elle viendroit mériter nos autels.
Dans maint auteur de science profonde,
j'ai lû qu'on perd à trop courir le monde ;
très-rarement en devient-on meilleur :
un sort errant ne conduit qu'à l'erreur.
Il nous vaut mieux vivre au sein de nos lares,
et conserver, paisibles casaniers,
notre vertu dans nos propres foyers,
que parcourir bords lointains et barbares ;
sans quoi le cœur, victime des dangers,
revient chargé des vices étrangers.
L'affreux destin du héros que je chante,
en éternise une preuve touchante :
tous les échos des parloirs de Nevers,
si l'on en doute, attesteront mes vers.
à Nevers donc chez les visitandines,
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
Je ne connais pas vraiment la Nièvre, j'y suis passé plusieurs fois, c'est un peu le hasard des rimes qui m'a mené à Château-Chinon et à Nevers... Et puis un peu mon goût pour l'escrime... Château-Chinon était le fief d'un célèbre bretteur spécialiste des coups de jarnac et la botte de Nevers est la spécialité de Lagardère...
Je connaissais ces vers-verts mais je les avais oubliés, merci Valérie.
Je connaissais ces vers-verts mais je les avais oubliés, merci Valérie.
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
En passant par la Lorraine
avec ses sabots
en passant par la Lorraine
avec ses sabots
piètine mon jardin sans gêne
avec ses sabots
Dondaine oh! oh ! oh !
avec ses sabots
Une bien trop belle aubaine
avec ses sabots
une bien trop belle aubaine
avec ses sabots
pied de nez à sa vilaine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh !oh!
avec ses sabots
s'est bien moqué de vilaine
avec ses sabots
s'est bien moqué de vilaine
avec ses sabots
Pas pir'qu'avec la melaine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh ! oh !
avec ses sabots
pas non plus pire que la teigne
avec ses sabots
celle là est mauvaise graine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh ! oh !
avec ses sabots
m'a fait une lourde peine
avec ses sabots
m'a fait une lourde peine
avec ses sabots
écorché mon coeur de laine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh ! oh !
avec ses sabots
avec ses sabots
en passant par la Lorraine
avec ses sabots
piètine mon jardin sans gêne
avec ses sabots
Dondaine oh! oh ! oh !
avec ses sabots
Une bien trop belle aubaine
avec ses sabots
une bien trop belle aubaine
avec ses sabots
pied de nez à sa vilaine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh !oh!
avec ses sabots
s'est bien moqué de vilaine
avec ses sabots
s'est bien moqué de vilaine
avec ses sabots
Pas pir'qu'avec la melaine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh ! oh !
avec ses sabots
pas non plus pire que la teigne
avec ses sabots
celle là est mauvaise graine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh ! oh !
avec ses sabots
m'a fait une lourde peine
avec ses sabots
m'a fait une lourde peine
avec ses sabots
écorché mon coeur de laine
avec ses sabots
dondaine oh ! oh ! oh !
avec ses sabots
chat2ouille- Messages : 1646
Date d'inscription : 13/03/2009
Re: Comptines revisitées
Bravo ameoceane et chat2ouille, je savais que j'allais faire des émules...
Sur l’air du petit navire
Il était une grande fille
Il était une grande fille
Qui n’était ja ja jamais culottée
Qui n’était ja ja jamais culottée
Ohé ! Ohé !
Elle montrait sa jolie chatte
Elle montrait sa jolie chatte
A ceux qui vou vou voulaient regarder
A ceux qui vou vou voulaient regarder
Ohé ! Ohé !
Mais les garçons étaient trop sages
Mais les garçons étaient trop sages
Ils n’osaient pas pas pas la baiser
Ils n’osaient pas pas pas la baiser
Ohé ! Ohé !
C’est le curé de la paroisse
C’est le curé de la paroisse
Qui la la la dépucelée
Qui la la la dépucelée
Ohé ! Ohé !
Et puis le maire du village
Et puis le maire du village
A voulu se se se la payer
A voulu se se se la payer
Ohé ! Ohé !
Il a présumé de ses forces
Il a présumé de ses forces
Et dans l’effort fort fort il a claqué
Et dans l’effort fort fort il a claqué
Ohé ! Ohé !
La morale de cette histoire
La morale de cette histoire
Vive les fi fi fi déculottées
Vive les fi fi fi déculottées
Ohé ! Ohé !
Sur l’air du petit navire
Il était une grande fille
Il était une grande fille
Qui n’était ja ja jamais culottée
Qui n’était ja ja jamais culottée
Ohé ! Ohé !
Elle montrait sa jolie chatte
Elle montrait sa jolie chatte
A ceux qui vou vou voulaient regarder
A ceux qui vou vou voulaient regarder
Ohé ! Ohé !
Mais les garçons étaient trop sages
Mais les garçons étaient trop sages
Ils n’osaient pas pas pas la baiser
Ils n’osaient pas pas pas la baiser
Ohé ! Ohé !
C’est le curé de la paroisse
C’est le curé de la paroisse
Qui la la la dépucelée
Qui la la la dépucelée
Ohé ! Ohé !
Et puis le maire du village
Et puis le maire du village
A voulu se se se la payer
A voulu se se se la payer
Ohé ! Ohé !
Il a présumé de ses forces
Il a présumé de ses forces
Et dans l’effort fort fort il a claqué
Et dans l’effort fort fort il a claqué
Ohé ! Ohé !
La morale de cette histoire
La morale de cette histoire
Vive les fi fi fi déculottées
Vive les fi fi fi déculottées
Ohé ! Ohé !
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
Bonjour tout le monde
Mais qu’est ce qu’il me fait faire ???
(Sur la route de Dijon)
Sur la route de St Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Sur la route de St Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Il y avait une fontaine
La digue dondaine
Il y avait une fontaine
Aux cochons aux cochons
- Près d’elle un joli vagabond
La belle en bigoudis la belle en jupon
Près d’elle un joli vagabond
La belle en bigoudis la belle en jupon
Pleurait comme une madeleine
La digue dondaine
Pleurait comme une madeleine
Aux cochons aux cochons
- Passe par là des polissons
La belle en bigoudis, la belle en jupon
Passe par là des polissons
La belle en bigoudis la belle en jupon
Qui chantait à perdre haleine
La digue dondaine
Qui chantait à perdre haleine
Aux cochons aux cochons
Belle, comment vous nomme-t-on ?
La belle en bigoudis, la belle en jupon
Belle, comment vous nomme-t-on ?
La belle en bigoudis, la belle en jupon
On me nomme la mère icaine
La digue dondaine
On me nomme la mère icaine
Aux cochons aux cochons
La mère icaine c’est un drôle de nom
La belle en bigoudis la belle en jupon
La mère icaine c’est un drôle de nom
La belle en bigoudis la belle en jupon
S’écria une grosse bedaine
La digue dondaine
S’écria une grosse bedaine
Aux cochons aux cochons
La mère icaine qu’avez vous donc ?
La belle en bigoudis la belle en jupon
La mère icaine qu’avez vous donc ?
La belle en bigoudis la belle en jupon
Messieurs j’ai mauvaise haleine
La digue dondaine
Messieurs j’ai souvent la migraine
Aux cochons aux cochons
- Paraît que tous les polissons
La belle en bigoudis la belle en jupon
Paraît que tout tous les polissons
La belle en bigoudis la belle en jupon
Consola la mère icaine
La digue dondaine
Consola la mère icaine
Aux cochons aux cochons
Si vous passez par St ! Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Si vous passez par St ! Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Allez boire sous la fontaine
La digue dondaine
Allez boire sous la fontaine
Aux cochons aux cochons
Mais qu’est ce qu’il me fait faire ???
(Sur la route de Dijon)
Sur la route de St Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Sur la route de St Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Il y avait une fontaine
La digue dondaine
Il y avait une fontaine
Aux cochons aux cochons
- Près d’elle un joli vagabond
La belle en bigoudis la belle en jupon
Près d’elle un joli vagabond
La belle en bigoudis la belle en jupon
Pleurait comme une madeleine
La digue dondaine
Pleurait comme une madeleine
Aux cochons aux cochons
- Passe par là des polissons
La belle en bigoudis, la belle en jupon
Passe par là des polissons
La belle en bigoudis la belle en jupon
Qui chantait à perdre haleine
La digue dondaine
Qui chantait à perdre haleine
Aux cochons aux cochons
Belle, comment vous nomme-t-on ?
La belle en bigoudis, la belle en jupon
Belle, comment vous nomme-t-on ?
La belle en bigoudis, la belle en jupon
On me nomme la mère icaine
La digue dondaine
On me nomme la mère icaine
Aux cochons aux cochons
La mère icaine c’est un drôle de nom
La belle en bigoudis la belle en jupon
La mère icaine c’est un drôle de nom
La belle en bigoudis la belle en jupon
S’écria une grosse bedaine
La digue dondaine
S’écria une grosse bedaine
Aux cochons aux cochons
La mère icaine qu’avez vous donc ?
La belle en bigoudis la belle en jupon
La mère icaine qu’avez vous donc ?
La belle en bigoudis la belle en jupon
Messieurs j’ai mauvaise haleine
La digue dondaine
Messieurs j’ai souvent la migraine
Aux cochons aux cochons
- Paraît que tous les polissons
La belle en bigoudis la belle en jupon
Paraît que tout tous les polissons
La belle en bigoudis la belle en jupon
Consola la mère icaine
La digue dondaine
Consola la mère icaine
Aux cochons aux cochons
Si vous passez par St ! Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Si vous passez par St ! Émilion
La belle en bigoudis la belle en jupon
Allez boire sous la fontaine
La digue dondaine
Allez boire sous la fontaine
Aux cochons aux cochons
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
Serait-il possible de creer une page 1 2 3,pq ma souris fume!!!!!!!!
Invité- Invité
Re: Comptines revisitées
Tu te devergondes Vagabond, la honte !
J'admire votre maniement des mots. Mais on ne peut pas avoir toutes les qualites, n'est-ce pas ? 8)
J'admire votre maniement des mots. Mais on ne peut pas avoir toutes les qualites, n'est-ce pas ? 8)
unnissart- Messages : 30
Date d'inscription : 21/03/2009
Localisation : PACA
Re: Comptines revisitées
Vagabond sur la route de St Emilion, avec du St Nectaire c'est bon...
Je peux, je peux bergère
Soulever ton jupon
Tu fais moins de manière
Avec le vieux baron
Je sais qu’il récompense
La fille dans son lit
Qui toujours se dépense
A gommer ses soucis
Ecoute ma prière
Montre-moi tes tétons
Je vois dans la lumière
Qu’ils sont vraiment mignons
Je saurai satisfaire
Leur envie de suçon
Ils méritent de faire
Le bonheur d’un garçon
Tu peux, tu peux bergère
Laisser tes blancs moutons
Paître dans la clairière
Les genêts les chardons
Et près de la rivière
Sous le grand peuplier
Tu seras écuyère
Je serai chevalier
Viens dans ma garçonnière
Il y a du bourbon
Quelques packs de bière
Et un grand lit tout rond
Tu auras l’avantage
De dormir sans façon
Sans robe et sans corsage
Tu verras c’est si bon
Je peux, je peux bergère
Soulever ton jupon
Tu fais moins de manière
Avec le vieux baron
Je sais qu’il récompense
La fille dans son lit
Qui toujours se dépense
A gommer ses soucis
Ecoute ma prière
Montre-moi tes tétons
Je vois dans la lumière
Qu’ils sont vraiment mignons
Je saurai satisfaire
Leur envie de suçon
Ils méritent de faire
Le bonheur d’un garçon
Tu peux, tu peux bergère
Laisser tes blancs moutons
Paître dans la clairière
Les genêts les chardons
Et près de la rivière
Sous le grand peuplier
Tu seras écuyère
Je serai chevalier
Viens dans ma garçonnière
Il y a du bourbon
Quelques packs de bière
Et un grand lit tout rond
Tu auras l’avantage
De dormir sans façon
Sans robe et sans corsage
Tu verras c’est si bon
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
Re: Comptines revisitées
Dansons la capucine)
Enlaçons la cousine
Elle aime les voyous
C’est une fille câline
Qui oublie les tabous
You
Embrassons la voisine
Elle a un cou si doux
Et sous sa mousseline
De jolis poils roux
You !
Troussons la gourgandine
Elle a de beaux genoux
Et sa jolie poitrine
Rend les bonshommes fous
You !
Baisons dame Tartine
Elle aime le pistou
Et sa fille Martine
A un joli minou
You
Chantons cette comptine
A la tendre Manou
Même dans sa cuisine
On peut faire joujou
You
Enlaçons la cousine
Elle aime les voyous
C’est une fille câline
Qui oublie les tabous
You
Embrassons la voisine
Elle a un cou si doux
Et sous sa mousseline
De jolis poils roux
You !
Troussons la gourgandine
Elle a de beaux genoux
Et sa jolie poitrine
Rend les bonshommes fous
You !
Baisons dame Tartine
Elle aime le pistou
Et sa fille Martine
A un joli minou
You
Chantons cette comptine
A la tendre Manou
Même dans sa cuisine
On peut faire joujou
You
ironimots- Messages : 142
Date d'inscription : 22/03/2009
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